Programme 6 Le taoisme

Qu'est-ce que le taoïsme voici sa définition ?

 

Toute chose a pour origine un principe vital appelé « tao ». Le courant taoïste s’intéresse à différents éléments : une mystique de cheminement spirituel passif vers Dieu, l’équilibre issu de la philosophie chinoise du Yin et du Yang, une éthique de bonne action sans hiérarchie et le naturalisme, selon lequel la cause, l’explication et la fin de toute chose sont naturelles.

Lao-Tseu, père fondateur du taoïsme ?

«  Connaître, c’est ne pas connaître : voilà l’excellence. Ne pas connaître, c’est connaître : voilà l’erreur. » Lao-Tseu, du Tao Tö King

Sage chinois ayant vécu à cheval sur les 6e et 5e siècles avant Jésus-Christ et contemporain de l’illustre philosophe Confucius, Lao-Tseu est parfois considéré comme le père fondateur du taoïsme. Son ouvrage intitulé « Tao Tö King », le livre de la voie et de la vertu, l’a en effet grandement influencé et occupe une place importante dans la culture comme « La faiblesse est plus forte que la force ». 

 

Les principaux piliers du taoïsme

L’immortalité comme quête suprême

• La poursuite du tao, c’est-à-dire de la voie 

Suivre la voie naturelle avec son cœur et son esprit afin d’atteindre l’harmonie.

L’imitation de la passivité féconde de la nature fait du taoïsme une philosophie naturaliste.

Il incarne les valeurs de liberté de l’individu et de rejet des contraintes sociales, d’insouciance, de spontanéité et de communion avec la nature.

• La plénitude du vide 

Paradoxe en apparence, se libérer des contraintes et faire le vide apporte un état de sagesse, de bonheur et de plénitude.

• La passivité productive 

Le non-agir constitue la forme d’action la plus efficace.

Si on ne tente pas de gouverner l’humanité, elle s’organise spontanément de la meilleure manière possible.

• La préférence de l’état naturel à la civilisation 

Vivre en autonomie sans intérêt pour la technique.

 

La quête de l’immortalité est l’un des thèmes principaux du taoïsme.

On parvient à sa réalisation en nourrissant le principe vital, le tao, de manière appropriée.

Les taoïstes accordent de l’importance à,

• La nourriture du corps 

Ils refusent les nourritures qui évoquent la mort, comme la viande.

Le sucres appelle au contraire la vie.

Ils pratiquent des techniques de respirations aussi poussées que celles des yogis.

Le taoïsme préconise des exercices de gymnastique afin d’assouplir le corps et de mieux laisser circuler les énergies.

• La nourriture de l’esprit 

On apprend qu’il faut, dit un alchimiste du 4e siècle, avoir accompli de nombreuses bonnes actions pour pouvoir devenir immortel et toute mauvaise action interrompt la série et oblige à recommencer du début.

 

Le taoïsme en Occident

Un art de vivre méconnu

En France, on trouve une petite communauté de maîtres taoïstes en région parisienne.

Une philosophie plurielle

« Le taoïsme n’a jamais été une religion unifiée et a constamment été une combinaison d’enseignements fondés sur des révélations originelles diverses »

Une question épineuse et à la fois philosophique.

Cet art de vivre est fondamentalement pluriel car les penseurs qu’il regroupe ont des visions du monde différentes.

C’est leur but qui les réunit, atteindre la sagesse en suivant le tao.

L’échec est le fondement de la réussite.

 

Votre ennemi est votre meilleur professeur.

 

Être conscient de la difficulté permet de l’éviter.

 

Qui promet à la légère tient rarement sa parole.

 

Qui parle beaucoup est souvent réduit au silence.

 

Celui qui sait se satisfaire aura toujours le nécessaire.

 

Se réjouir de la guerre, c’est aimer à tuer les hommes.

 

La vérité que l’on veut exprimer n’est pas la vérité absolue.

 

Le sage rejette toute influence indésirable et demeure centré.

 

Celui qui excelle ne discute pas, il maîtrise sa science et se tait.

 

Ne pas savoir et croire qu’on sait, c’est la maladie des hommes.

 

Trop de succès engendre l’arrogance. Et l’arrogance provoque la chute.

 

Celui qui s’enferme dans ses idées trouve rarement avec qui s’entendre.

 

Qui a de grandes passions est nécessairement exposé à de grands sacrifices.

 

Lorsqu’on a fait de grandes choses et obtenu de la gloire, il faut se retirer à l’écart.

 

La grandeur émerge de la simplicité. Les racines de la sagesse sont ancrées en elle.

 

Le sage peut découvrir le monde sans franchir sa porte. Il voit sans regarder, accomplit sans agir.

 

Être sincère avec ceux qui sont sincères et avec ceux qui ne le sont pas, c’est la sincérité efficace.

 

Produire sans s’approprier, agir sans rien attendre, guider sans contraindre, voilà la vertu suprême.

 

Aimez le monde comme vous-même… Alors seulement vous pourrez vous occuper de tout le reste.

 

L’homme de bien n’exige pas de l’autre qu’il soit parfait. Il l’aide à accomplir ce qu’il a en lui de meilleur.

 

Être bon à l’égard des bons et bon aussi envers ceux qui ne le sont pas, c’est posséder la bonté même.

 

Si vous préservez votre esprit de tout jugement et n’êtes pas esclaves de vos sens, votre coeur trouvera la paix.

 

L’inquiétude ronge l’esprit et dévie le jugement alors qu’on se rend finalement compte qu’on s’était inquiété pour rien.

 

Vous verrez que votre vie sera beaucoup plus facile, une fois que vous cesserez d’essayer de paraître aussi intelligent.

 

Pour avoir de la connaissance, ajouter des choses chaque jour, pour avoir de la sagesse, enlever des choses chaque jour.

 

Vivez selon ces principes : recherchez la simplicité, comprenez l’essentiel en toute chose, surmontez votre égoïsme et vos désirs sans fin.

 

Celui qui connaît les hommes est prudent, celui qui se connaît lui-même est éclairé, celui qui dompte les hommes est puissant, celui qui se dompte lui-même est fort, celui qui sait se suffire est assez riche.

 

Accomplis une grande œuvre par de menus actes, la chose la plus difficile au monde se réduit finalement à des éléments faciles, l‘œuvre la plus grandiose s‘accomplit nécessairement par de menus actes.

 

Choisis un bon terrain pour ta demeure, choisis le profond pour ton coeur, choisis envers autrui la bienveillance, choisis en parole la vérité, choisis en politique le bon ordre, choisis en affaire l’efficacité, choisis pour agir l’opportunité.

 

Envers ceux qui sont bons pour moi, je suis bon, envers ceux qui ne sont pas bons pour moi je suis bon, afin qu’ils apprennent à être bon, envers ceux qui ne sont pas sincères avec moi, je suis également sincère, afin qu’ils apprennent la sincérité.

 

À la naissance, tes enfants sont riches de possibilités, ce n‘est pas ton rôle de les limiter, ne dis pas: « pour toi, ceci ou cela est possible, mais ces autres choses ne le sont pas, ils découvriront par eux-mêmes ce qui est possible ou non pour eux, ton rôle est de les aider à rester ouverts aux merveilleux mystères de la vie.

 

La grande bonté ressemble à l’eau, elle s’écoule partout et remplit tout, elle vitalise, de par sa nature même, humblement, elle s’installe aux endroits les plus bas, comme celui qui suit le Tao, faites de votre cœur un lac à la surface calme et tranquille avec de grandes profondeurs de bonté, prenez soin de votre vraie nature, que l’amour soit votre don à autrui, dites uniquement la vérité, contournez les obstacles, ne les affrontez pas, ne vous efforcez pas de réussir à tout prix, attendez le bon moment, nul besoin de dispute, nul besoin de reproches.

PLUS 

 

Avoir un but trace la voie.

 

Trop loin à l’est, c’est l’ouest.

 

Toute noblesse vient de l’humilité.

 

Content de peu n’a rien à craindre

 

L’humilité sert à agir avec puissance.

 

La seule façon d’accomplir est d’être.

 

Un homme comblé n’est jamais déçu.

 

Ceux qui ne demandent rien ont tout.

 

La plus grande révélation est le silence.

 

Le silence permet de trouver son destin.

 

Apprenons à vivre avec nos incertitudes.

 

Si vous croyez savoir, vous ne savez pas.

 

Plus on voyage loin, moins on se connaît.

 

Celui qui ne perd pas sa racine peut durer.

 

Qui triomphe de lui-même possède la force.

 

Ne pas connaître l’éveil conduit à la confusion.

 

Le plus grand arbre est né d’une graine menue.

 

Les gens heureux n’ont pas besoin de se presser.

 

Qui accumule des richesses a beaucoup à perdre.

 

Être courageux sans compassion mène à la mort.

 

Lorsque la confiance manque, la loyauté disparaît.

 

L’homme maître de soi n’aura point d’autre maître.

 

Le plus grand péché est de céder à ses convoitises.

 

Savoir que l’on ne sait pas est d’un esprit supérieur.

 

L’homme qui ne tente rien ne se trompe qu’une fois.

 

Le sage s’instruit en observant les fautes des autres.

 

Le sage enseigne par ses actes, non par ses paroles.

 

Pour connaître l’issue d’une chose, voyez-en la racine.

 

Celui qui marche à grands pas ne tient pas la distance.

 

La plus grande faute est de ne pas savoir se contenter.

 

Élève les êtres, nourris-les sans chercher à les asservir.

 

Tu connais l’utilité, mais connais-tu l’utilité de l’inutile ?

 

Le ciel porte secours a celui qui est doté de compassion.

 

Celui qui a inventé le bateau a aussi inventé le naufrage.

 

Le sage sait que plus il donne aux autres, plus il possède.

 

L’expérience est une lumière qui n’éclaire que soi-même.

 

Mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres.

 

Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous, ensemble.

 

Quand le ciel veut sauver un homme, il lui envoie l’amour.

 

Qui domine les autres est fort. Qui se domine est puissant.

 

Une fourmi en mouvement en fait plus qu’un bœuf assoupi.

 

Quand la crainte ne veille pas, il arrive ce qui était à craindre.

 

La douceur l’emporte sur la dureté, et la faiblesse sur la force.

 

La bonté n’est point éloquence, l’éloquence n’est point bonté.

 

On doit prendre la simplicité comme principe directeur de vie.

 

La vertu suprême ignore la vertu, c´est pourquoi elle est vertu.

 

Le but n’est pas seulement le but, mais le chemin qui y conduit.

 

Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre sans bataille.

 

Vivre n’est jamais jouer un rôle, vivre c’est laisser parler son être.

 

Retourne à la source, trouve la sérénité, c’est la voie de la nature.

 

Celui qui sait qu’assez c’est assez en aura toujours suffisamment.

 

Créer, non posséder, oeuvrer, non retenir, accroître, non dominer.

 

Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas.

 

Celui qui excelle à employer les hommes se met au-dessous d’eux.

 

Celui qui se grandit et se met sur les pointes ne tient pas l’équilibre.

 

Être humain, c’est aimer les hommes, être sage, c’est les connaître.

 

Sois avare de tes paroles et les choses s’arrangeront d’elles-mêmes.

 

La nourriture excessive et les actions superflues dégradent les êtres.

 

Le chemin du sage consiste à agir mais pas dans l’esprit de rivaliser.

 

Il n’y a point de chemin vers le bonheur, le bonheur, c’est le chemin.

 

Le lourd est la racine du léger : le repos est le maître du mouvement.

 

Sois content de ce que tu as ; réjouis-toi de la réalité telle qu’elle est.

 

Le bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur.

 

Les choses les plus grandes au monde ont commencé par être petites.

 

La nature fait les choses sans se presser, et pourtant tout est accompli.

 

Le sage se consacre à sauver les êtres humains, sans rejeter personne.

 

Rendre le bien pour le bien et le bien pour le mal, c’est la bonté efficace.

 

Souvent le vrai résonne comme le faux et le faux résonne comme le vrai.

 

Un grand homme sait que ses ennemis sont les ombres de ce qu’il rejette.

 

Arrêtez le mal avant qu’il n’existe ; calmez le désordre avant qu’il n’éclate.

 

La meilleure façon de combattre le mal est un progrès résolu dans le bien.

 

Le grand homme est celui qui n’a jamais perdu la vision de ses petitesses.

 

Je m’observe moi-même et c’est ainsi que je réussis à connaître les autres.

 

Le sage sans jamais faire de grandes actions, accomplit de grandes choses.

 

Si un homme saisit ce qui est fondamental, tous les livres deviennent inutiles.

 

Entre oui et non, la frontière est bien mince, le bien et le mal sont entremêlés.

 

Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.

 

Les règles du sage pour gouverner sont d’ouvrir les cœurs et d’emplir les ventres.

 

L’homme n’est pas fait pour construire des murs, mais pour construire des ponts.

 

Faites-en sorte que les vaincus puissent se féliciter de vous avoir pour vainqueur.

 

Connaitre les autres, c’est sagesse, se connaître soi-même, c’est sagesse supérieure.

 

Il est plus intelligent d’allumer une toute petite lampe, que de te plaindre de l’obscurité.

 

Le sage accomplit sans orgueil parfait sans ostentation et tient son mérite dans l’ombre.

 

Celui qui veut dispenser la lumière doit connaître les ténèbres qu’il est amené à éclairer.

 

Souciez-vous de ce que les gens pensent de vous et vous serez toujours leur prisonnier.

 

Un ennemi que tu vaincs reste ton ennemi, un ennemi que tu convaincs devient ton ami.

 

Quand vous prenez conscience que rien ne vous manque, le monde entier vous appartient.

 

Quand l’oeuvre des meilleurs chefs est achevée, le peuple dit : c’est nous qui avons fait ça.

 

Imposer sa volonté aux autres, c’est force, se l’imposer à soi-même, c’est force supérieure.

 

Il faut éliminer les problèmes dès le début de leur apparition tant qu’ils sont encore simples.

 

Ne trouvez pas trop étroite votre demeure, ne vous dégoûtez pas de votre condition de vie.

 

Accomplis ta tâche puis fais un pas en arrière, c’est le seul chemin qui conduise à la sérénité.

 

De l’argile, nous faisons un pot, mais c’est le vide à l’intérieur qui retient ce que nous voulons.

 

Les mots de vérité manquent souvent d’élégance, les paroles élégantes sont rarement vérités.

 

L’homme supérieur pratique la vertu sans y songer, l’homme vulgaire la pratique avec intention.

 

Celui qui se vante de ses gloires, en perd tout le mérite, celui qui se célèbre ne sera pas reconnu.

 

Dans les combats, il n’est pas de vainqueur, et la victoire devrait être célébrée en des rites funèbres.

 

Lorsque vous prenez conscience de votre source, vous devenez naturellement tolérant, aimable et enjoué.

 

Soyez honnête avec ceux qui sont honnêtes et avec ceux qui ne le sont pas. Alors l‘honnêteté est atteinte.

 

Au centre de votre être, vous avez la réponse ; vous savez qui vous êtes et vous savez ce que vous voulez.

 

Les armes sont des instruments néfastes et répugnent à tous, celui qui comprend le Tao ne les adopte pas.

 

Le sage ne rencontre pas de difficultés, car il vit dans la conscience des difficultés et donc n’en souffre pas.

 

Sache te satisfaire et tu ne subiras pas de disgrâce ; sache quand t’arrêter et tu ne rencontreras pas de danger.

 

Celui qui dirige les autres est peut-être puissant, mais celui qui s’est maîtrisé lui-même a encore plus de pouvoir.

Si tu es déprimé, tu vis dans le passé, si tu es anxieux, tu vis dans le futur, si tu es en paix, tu vis dans le présent.

 

La voie du ciel c’est : vaincre sans lutter, convaincre sans parler, faire venir sans appeler, réaliser dans la sérénité.

 

Tu es le maître des paroles que tu n’as pas prononcées, mais tu es l’esclave de celles que tu as laissées échapper.

 

Quand on a réglé un grand différend, il reste toujours quelques griefs, et la paix ne peut être rétablie que par la bonté.

 

Si tes résultats ne sont pas à la hauteur de tes espérances, dis-toi que le grand chêne aussi, un jour, a été un gland.

 

Qui va vers le Tao, le Tao l’accueille, qui va vers la Vertu, la vertu l’accueille, qui va vers la perte, la perte l’accueille.

 

Celui qui en sait beaucoup sur les autres est peut-être instruit, mais celui qui se comprend lui-même est plus intelligent.

 

La bonté en parole amène la confiance, la bonté en pensée amène la profondeur. La bonté en donnant amène l’amour.

 

Le sage se garde d’amasser plus il vit pour les autres et plus il s’enrichit plus il dispense aux autres et plus il est comblé.

 

Les plus grands conquérants gagnent sans lutter, les dirigeants les plus efficaces, conduisent les hommes sans ordonner.

 

Le chemin de vie est ce fil conducteur que nous suivons de façon consciente ou inconsciente tout le long de notre existence.

 

Si quelqu’un t’a offensé, ne cherche pas à te venger, assieds-toi au bord de la rivière, et bientôt tu verras passer son cadavre.

 

Le sage est méthodique mais pas tranchant, intègre mais pas blessant, droit mais pas absolu, lumineux mais pas éblouissant.

 

Être aimé profondément par quelqu’un vous donne de la force tandis qu’aimer profondément quelqu’un vous donne du courage.

 

Gentillesse en mots crée la confiance, la gentillesse dans la pensée crée de la profondeur, la gentillesse à donner crée l‘amour.

 

Pas de plus grand malheur que d’être insatiable, pas de pire fléau que l’esprit de convoitise, qui sait se limiter aura toujours assez.

 

Quelle belle conception les anciens avaient de la mort : repos des bons, terreur des méchants, la mort, c’est l’épreuve de la vertu.

 

Un grand Etat s’agenouille devant un petit pays, passif, il le vainc, un petit pays s’agenouille devant un grand pays, passif, il est vaincu.

 

Accepter et pardonner, c’est se réconcilier avec soi-même, se donner de l’amour pour être en paix, et retrouver la joie de vivre, l’instant présent.

 

Observez l’ordre naturel des choses, travaillez avec lui plutôt que contre lui, car essayer de changer ce qui est ne pourra que faire surgir une résistance.

 

La vie est une succession de changements naturels, ne résistez pas car cela ne générera que des soucis, laissez la réalité être la réalité, laissez faire naturellement les choses.

 

Si tu veux éliminer toute la souffrance du monde, alors élimine tout ce qui est obscur et négatif en toi, en vérité, le plus grand cadeau que tu puisses faire au monde, c’est celui de ta propre transformation.

 

La renommée ou la personne, quel est le plus précieux bien, la personne ou les biens matériels, lequel a le plus de valeur, du gain ou de la perte, quel est le poison, trop d’attachement conduit à l’épuisement

 

Celui qui croit en lui-même n’a pas besoin de convaincre les autres, celui qui est heureux avec lui-même n’a pas besoin de l’approbation des autres, celui qui s’accepte lui-même, le monde entier l’acceptera.

 

L‘eau est fluide, douce et peu résistante, mais l‘eau gruge la roche, qui est rigide et ne veut pas céder, en règle générale, tout ce qui est fluide et doux peut surmonter tout ce qui est rigide et dur, il s‘agit d‘un autre paradoxe : ce qui est doux est fort.

 

Surveillez vos pensées, elles deviennent des paroles, surveillez vos paroles, elles deviennent des actions, surveillez vos actions, elles deviennent des habitudes, surveillez vos habitudes, elles deviennent votre personnalité, surveillez votre personnalité, elle devient votre destinée.