Comment retrouver le choix de penser avec les autres et l'Éveil ?
L’expérience dit que l’on met entre nos mains tous les leviers pour être acteurs de notre vie et pour choisir avec courage le chemin que nous souhaitons parcourir.
Un des principes importants est le refus des vérités prêt établies.
Entre une cause et son effet, notre passé ou les actions de notre présent, nos décisions y seraient déterminées.
C’est ici que notre liberté serait très limitée.
Notre vie est donc le résultat de nos choix, elle dépend du sens que nous donnons à nos expériences passées.
Croire que nos pensées sont les problèmes de notre vie relationnelle interpersonnelle.
Souvent, nous regardons le monde comme une compétition perpétuelle, avec des gagnants et des perdants.
Nous passons notre temps à nous comparer aux autres.
Nous les voyons comme des adversaires. Une manière de simplifier nos relations est la séparation des tâches, les actions ou les décisions que nous prenons.
Dans le système de récompense et punition dans lequel nous avons été éduqués, nous pensons à tort être influencés par les autres.
Face à une décision, ou une actions, nous devrions nous demander.
A qui incombe cette tâche ?
Qui, subira les conséquences de ce choix ?
Si la tâche est de notre ressort, tout ce que nous pouvons faire c’est de choisir le meilleur chemin auquel nous croyons, indépendamment du jugement des autres.
Si au contraire la tâche est de responsabilité d’autrui, le mieux que nous pouvons faire est de ne pas intervenir.
Ainsi faisant, nous respectons le premier des deux objectifs du comportement humain, être autonome.
Le deuxième objectif est de vivre en harmonie avec la société.
Ces deux objectifs peuvent parfois rentrer en conflit, quand nos choix déplaisent à quelqu’un d’autre.
Ne pas toujours être aimé est le prix à payer pour être libre. Pour être libre, il faut avoir le courage de déplaire.
Il faut réussir à dépasser la peur que nos relations puissent s’écrouler à cause de nos décisions.
Le socialement correct peut être la source de notre bonheur si nous nous engageons activement et spontanément envers la communauté.
Cela se traduit par répondree à cette question, que puis-je donner à cette personne ?
Dans ce type de relation, notre rapport aux autres est basé sur l’encouragement et la gratitude, nous leur faisons sentir notre confiance dans leur capacité à bien s’occuper de leur propres tâches.
Au début, il suffit de se concentrer une seule relation, celle avec notre conjoint ou un ami très proche, par exemple.
Cela va ensuite influencer l’ensemble de nos relations.
Olivier Bonald
Olivier Bonald, je vous ACCUEIL en appel vidéo dans le monde entier ou dans l’un de mes 3 cabinet. Avec mon accompagnement, apprenez à recadrer vos mauvaises pensées qui sont la source de vos maux. Tout ce que l’on dit on le crée et on l’attire. L’idéal passe par le faite de faire et non d’avoir, en prononçant des verbes d'actions positifs dans le mouvement.