Programme 4 L'éveil
Description pour réduire ces pensées
En cherchant, on présuppose et nourrit l’idée que nous n’avons pas suffisamment d’informations ou de conscience transmise pour nous rééquilibrer seul dans certaine situation.
Ceci est donc une piqure amicale et indolore voir plutôt plaisante de ce que vous savait et dont vous aviez oublié avoir à votre connaissance.
Ainsi avec ces éléments que je vais vous donnez vous allez redevenir plus conscient, en pleine maîtrise sans être dans la projection du futur ni dans les pensées du passé mais dans le moment présent.
Bonne accompagnement !
Section 1 > Introduction
- Définition de l’éveil 02:00
- Qu’est ce que les vibrations de la nature 02:00
- Méditer en silence 02:00
- Sciences et méditation 02:00
Section 2 > S’équilibrer
- Etre maître du mental et de ses émotions 02:00
- Apprendre à se détacher facilement des choses ou des gens 02:00
- Rester centré 02:00
- Gérer facilement le stress 02:00
- La conscience sans pensée 02:00
- Apprendre à être son propre maître 02:00
Section 3 > Les 3 « cerveaux », centres d’énergie du corps ayant de l’influence sur l’esprit
- La tête 02:00
- Le coeur 02:00
- Le ventre 02:00
Section 4 > Des clefs au quotidien
- Augmenter son bien-être 02:00
- Pour la vivacité contre l’activité mentale excessive 02:00
- L’éveil de son énergie intérieure 02:00
Introduction
Définition de l’éveil
Cela signifie différentes choses pour différentes personnes.
Certaines croient que la conscience spirituelle se rapproche de la nature.
D’autres croient qu’il s’agit d’un profond changement intérieur de leurs pensées et de leur façon d’être.
D’autres croient que c’est une meilleure compréhension de la vie.
Une conscience spirituelle signifie que les gens commencent à se penser moins en tant qu’individu, mais plus en tant que partie d’un système plus large.
Ils reconnaissent que toutes les choses proviennent de la même source et partagent une connexion.
La conscience spirituelle peut également être décrite comme une augmentation de la conscience.
Vous devez examiner vos propres pensées, sentiments et expériences pour une véritable compréhension de la conscience spirituelle.
Mais en pensant en ce sens, cela veut-il dire que certaines consciences spirituelles seraient endormies ?
Et bien il faut savoir que la conscience est toujours éveillée, mais le niveau peut être différent selon les personnes car les codes sociaux endorment la conscience.
Il est important que les gens cherchent à connecter le conscient au subconscient et afin d’accroître leur conscience spirituelle.
Cependant, certains systèmes de croyance disent qu’une personne atteint rarement la pleine conscience, mais qu’elle le devient en prenant de petits pas sur le chemin de la pleine conscience.
Les niveaux de sensibilisation peuvent varier selon l’endroit où une personne est sur le chemin de la conscience.
C’est voir clair comme je le disais, se rendre compte précisément ce qu’est l’Illusion, mais sans pour autant s’en prendre à elle, car celui qui s’y attaque la renforce.
Cela donne des résultats à la mesure de ses efforts, de sa pureté d’intention, de sa sincérité, de l’intensité de son lien avec son Soi supérieur, de son degré d’amour et d’abandon à l’Univers.
Cette notion évoque traditionnellement une libération totale de l'ego.
Cette recherche se produit souvent quand on a l'impression que tout s'écroule devant les exigences du monde extérieur.
Comprenez dorénavant que l'être humain n'a jamais été un être supérieur dans l'univers.
Le pouvoir qu'il s'octroie n'est que pure illusion !
L'étape cruciale pour parvenir à l'éveil spirituel est de cesser d'avoir peur du jugement des autres et de penser par soi-même.
Mettez fin à cette ''prison sociale'' qui vous retient auprès des autres.
Suivez votre propre voie !
L’éveil c’est trouver sa mission de vie.
C’est réapprendre à vous aimer pour être et pour vous réaliser.
Nous avons tous cette même première étape à suivre, absolument tous !
Ensuite rayonnez et transmettez cet Amour autour de vous, à votre façon, à travers ce qui vous fait vibrer.
Si vous ne savez pas encore ce qu’est la seconde étape, ne vous inquiètez pas, ça viendra dès lors que vous apprendrez à t'aimer assez.
Votre secret est en vous er il ne cherche qu'à se révéler.
Vous vivez cette vie pour expérimenter les émotions et toutes les souffrances (et joies) qu'elles génèrent pour réapprendre à vous aimez et à retrouver votre autonomie, votre unité.
La vie vous pousse à vous choisir ainsi sur votre cœur en lui faisant confiance.
Elle vous pousse à lâcher votre peur.
Apprenez à écouter votre âme et vos besoins profonds.
Apprenez à communiquer avec et ensuite exaucez les par vos actions.
C'est ainsi que vous « guérirez » vos blessures et que vous pacifierez votre monde intérieur.
Ensuite naturellement, vous pacifierez le monde autour de vous, à votre façon.
Ce que vous ferez avec Amour apportera sourires et bonheur.
Le monde a besoin de sourires et de bonheur.
Le monde a besoin de vous.
Quoiqu'il arrive, personne ne pourra vous en détourner.
Certains diront de vous: ''Il elle est fou ou folle !'' ou bien ''Il elle est déconnecté de la réalité !''
Ignorez-les, car ils ne feront jamais l'effort intellectuel nécessaire pour comprendre ce que vous ressentez.
Ils préféreront vous éviter plutôt que de vous accepter tel que vous êtes, car ils n'ont pas le dixième de votre courage.
Ils ne peuvent dans leur dimension admettre leur propre ignorance.
Ils affirmeront que vous êtes un ''illuminé !''
Ils ont peur d'admettre à eux-mêmes qu'ils ne maîtrisent pas tous les aspects de leur propre vie.
Ils s'accrochent à la moindre explication ''rationnelle'' pouvant les apaiser.
Ils se complaisent derrière leurs connaissances académiques, leurs diplômes, leur rang hiérarchique et leurs titres honorifiques !
Nous vivons à une époque dans laquelle la bonté et l'humilité sont considérées comme des faiblesses de caractère alors qu'elles devraient être considérées comme des forces.
Nous vivons dans une société dans laquelle le plus fort dénigre le plus faible alors que le plus fort devrait supporter le plus faible.
Nous vivons dans une société gouvernée par les plus riches et les plus puissants, mais également les plus corrompus et incompétents.
Vous savez que ce monde artificiel fabriqué par les humains est une imposture, un moyen de contrôle.
Vous savez qu'au-delà de ce monde existe une autre réalité: un royaume éclatant de vérité et de beauté où règne à tout jamais l'amour et la justice.
Vous allez ressentir l'ensemble de tout ce qui existe comme une unité.
Vous saurez désormais que ses pensées, ses paroles et ses actions produisent un effet positif ou négatif sur l'ensemble.
Il n’existe aucun individu isolé parce que tout est interdépendant.
L’espèce humaine doit se réveiller du matérialisme dans lequel elle vit présentement, pour qu’elle découvre ses racines spirituelles.
Trouvez le bien-être pour faire simple.
Parmi les habitants de la Terre, beaucoup aspirent à la bonté et à l'amour.
D'autres continuent délibérément de répandre la misère, la souffrance et la mort par manque de compassion.
Pour cette raison, l'humanité actuelle doit subir un grand recadrage par la divulgation d’informations par des autorités qui lui permettra de s’ouvrir et de faire un choix du bien ou du mal et de s’incarné réellement dans leur vrai mission de vie.
Tout commence par s’élever seul.
Pour faire simple, l’Éveil c’est de l’information.
En supprimant les dictats, les gens pourront décider vraiment maintenant de rester dans le passé ou d’avancer pour le bien de la planète pour éviter de continuer de détérioré leur habitat naturel causé par la politique insouciance économique avec de faux besoins car tout est fait pour dépendre d’un autre.
Certains resteront dans la dimension matériel ou d’autres rentreront dans celle spirituelle en ayant toutes les données cachées jusqu’ici…
Une population qui va mal est manipulable.
Aspirerons tous à la bonté face aux gaspillages du temps sur Terre à nourrir l’égoïsme.
Laissons ceux qui ont retardés volontairement leur éveil aux vrais choses la vie et non le matériel pour créer notre propre univers voir multi-vers.
Sans la majorité ils perdront leur ancien pouvoir de l’argent utiliser à mauvais escient.
Ce n'est que dans l'histoire récente de la Terre que l'espèce humaine a une influence importante sur la biodiversité, notamment à cause du développement technologique exponentiel et la sur exploitation créant les carences malsaines dont l’humanité subit les frais aujourd’hui pour une pseudo abondance ne profitant qu’a une minorité.
La religion est une prison pour l'esprit.
La spiritualité libère l'esprit de sa prison parce qu'elle est tolérante vis-à-vis des autres religions.
Ayons une conscience qui rayonne dans la pensée sans aucuns préjugés, qui rassemble les gens au lieu de les diviser, qui produit de la sérénité et non de la peur.
Lorsque les gens commenceront à s'éveiller en masse, à comprendre leur spirituelle sans croire en rien d’extérieur mais juste en ce qui est en eux, comme leur divinité et souveraineté, les préjugés injustifiés, la peur de l'autre, le conformisme et l'ignorance appartiendront au passé.
C'est une conscience qui rayonne dans la pensée sans aucuns préjugés.
Le Taoïsme, le Confucianisme aident à comprendre cela en restant dans le philosophisme quand on ne croit pas en dieu.
L’éveil c’est allé jusqu'à la négation de toute autorité, jusqu'à une véritable anarchie dans l'ordre intellectuel et dans l'ordre social.
Les étapes de la conscience >
1) La conscience instinctive, l'individu est motivé par la satisfaction de ses désirs.
2) La conscience égoïste, l’individu comprend les conséquences de ses actes sur sa propre vie.
3) La conscience altruiste, l’individu comprend les conséquences de ses actes sur les autres.
4) La conscience vertueuse, l'individu comprend que ses actes doivent avoir des conséquences positives sur les autres.
5) La conscience solaire, l’individu comprend sa nature spirituelle ou l'expression de la divinité en lui.
6) La conscience du don de soi, ‘individu est soucieux du bien-être des autres avant son propre bien-être.
7) La conscience christique ( « le christ qui est une énergie, n’étant pas forcement jésus qui était une entité » ), l'individu sacrifie son propre égo en accomplissant des actes purement altruistes.
On pourrait dire que le corps est un hologramme de l’âme voué à une existence temporaire révélant l’éveil de la conscience de ce qui est dit ou vécu.
Le but de notre vie est d’être le plus clair possible avec son alignement que l’on appelle aussi bien-être.
Qu’est ce que les vibrations de la nature.
En physique, le terme « vibration » désigne le mouvement d'un système qui reste voisin de son état de repos, de son état d’équilibre.
La science quantique a réussi à détecter et amplifier le son de cellules vivantes qui ont des fréquences de 933 Hz et 1773 Hz !
On a ainsi démontré qu’elle ont un corps oscillant qui émet des vibrations.
On en a conclu que toutes les cellules vivantes (plantes, animaux) ainsi que les cellules humaines émettent des sons et que les vibrations émises sont différentes selon leur type ou qu'elles sont en santé ou non.
L'infiniment petit qui nous constitue est donc sonore et notre corps est constitué d'une symphonie cellulaire…
D'où l'idée que tout dans l'univers est en interdépendance, qui nous ouvre à l'idée du partage et de l'harmonie.
Cela nous donne une perspective sur la possibilité de la mutation, changer d'état devient possible.
Puisque tout est vibration, il nous suffit, pour passer d'un état à un autre, de changer de vibration, donc de passer d'une vibration à une autre, c'est à dire de changer de fréquence. C'est ce que vous faites lorsque vous changez la fréquence de votre récepteur radio, pour passer d'une station à une autre, vous changez de fréquence.
Grâce à cette loi de vibration, vous pouvez aussi prendre conscience qu'il est possible de vibrer autrement, voire de devenir quelqu'un d'autre.
Par exemple, il est possible de passer de la vibration d'une personne malchanceuse à la vibration d'une personne chanceuse, ou celle d'une personne insatisfaite à celle d'une personne comblée...
Nous avons tous notre propre vibration naturelle, c’est-à-dire une fréquence de naissance, qui est donc variable d’une personne à l’autre.
Nous ne venons pas tous au monde avec la même vibration, mais lorsque nous sommes bébés, cette vibration est, en tous cas, naturelle et fluide.
Selon les schémas de notre propre histoire, très vite, cette fréquence que l’on avait à la naissance change, influencée par le mental, l’émotionnel et nos attitudes.
Notre vibration personnelle est une combinaison de vibration mais également de tout un tas d’autres paramètres.
Le taux vibratoire est la fréquence à laquelle vibre une personne.
Cela dépend des pensées, de ses émotions, de ses croyances, de l’environnement dans lequel elle vit, des personnes avec lesquelles elle est en contact, des différentes situations vécus et de ses aptitudes.
A chaque instant, au cours d’une même journée, tous ces éléments influencent, positivement ou négativement notre fréquence qui, alors, monte ou descend, devient haute ou basse.
Les informations diffusées dans les médias, les événements qui attirent de l’attention et qui ne sont pas forcément positifs, petit à petit sont absorbés et ont une grande influence sur nos émotions et sur ce que nous ressentons (nos vibrations) du fait sur ce que nous communiquons aux autres.
Les émotions ont une échelle de fréquences vibratoires plus ou moins haute comme la joie, la sympathie, la bienveillance car elles dégagent des énergies plutôt légère et agréable à vivre.
Au contraire des émotions plus « sombres » comme la haine, la rancœur, la colère ou l’agressivité qui ont une échelle de fréquences plutôt basses, denses, lourdes et qui ont une tendance repoussante et désagréable.
Il est assez facile de se rendre compte à quel point notre énergie peut monter ou descendre en fonction des émotions que nous ressentons.
Voyez comme l’on se sent vidé après une dispute ou lorsqu’on est dans un environnement de tension, de haine, d’agressivité, alors qu’au contraire, nous sommes débordants d’énergie, lorsque nous avons passé un bon moment entre amis, avec des personnes qui dégagent de la bonne vibration ou simplement dans un lieu agréable rempli d’énergie positive ou paisible !
Notre premier mode de communication est énergétique.
C’est ce qui émane d’un être, ses ondes – ses vibrations, que nous percevons en premier. C’est aussi ce que les autres saisissent de nous.
Nous avons tous connu de ces gens, en présence desquels nous nous sentons complètement vidés, comme s’ils absorbaient littéralement notre énergie.
A l’inverse, certaines personnes sont de véritables remontants et le seul fait de se trouver dans la même pièce qu’elles nous galvanise.
"Tout est vibration et énergie, la matière n'existe pas" Albert Einstein
" Si vous voulez trouver les secrets de l'univers, pensez en termes d'énergie, de fréquence, d'information et de vibration. " Nikola Tesla
" Le vide est plein d'énergie. Ce champ unifié d'énergie connecte absolument tout. " Nassim Haramein
" Ainsi, dans nos sociétés dites "civilisées" nous sommes conditionnés à devenir "malade" comme à mourir à cause des codes souvent très négatifs de désinformation et de fatigue "
Donc vous l'aurez bien compris, l'harmonie c'est aussi un champ vibratoire en cohérence avec la vie en nous et autour de nous.
L'auto-guérison, qui est aussi inscrite en nous et en chaque être vivant, est un puissant processus qui permet de vivre en bonne santé et le plus longtemps possible à travers les péripéties du temps.
La maladie est comme la peur, elle s'accroche là où se trouve nos faiblesses.
Et si nos esprits sont faibles, nous serons malades, car auto-programmé à cette croyance en nous.
Pourtant à l'inverse, nous devrions plutôt être en bonne santé, car c'est la vocation du vivant.
Et donc nous devrions juste oeuvrer à maintenir cette "vitalité", simplement en nous accordant à la vie, au vivant et à la nature.
Puis par nos schémas psychologiques et par nos comportements qui en découlent, la maladie devient une présence constante mais aussi une peur qui entretien par récurrence ce spectre morbide.
Et pourtant, en nourrissant simplement la santé, la présence dans l'instant "ici et maintenant", on éloigne cette idée de maladie de notre imagination et de nos projections, mais aussi et c'est le plus important de la réalité de notre vie.
La maladie n'est pas une fatalité du sort mais bien une cause qui a ses origines en nous même, dans notre passé, dans notre futur, dans notre manière d'aborder la vie, dans nos conditionnements, nos croyances et nos peurs.
Et quand nous sommes malade, nous ne sommes plus libre.
On retrouve dans toutes les traditions des civilisations anciennes, la musique et le chant au coeur des rituels, qu'ils soient religieux ou pas, faisant office d'amplificateur de la guérison et du maintient de l'élan vital et de la santé (mentale, émotionnelle et physique).
C'est très spectaculaire et très parlant aussi.
En faisant vibrer de l'eau ou celle d'une cellule vivante à certaines fréquences, on visualise ainsi la part invisible de ce que ces ondes produisent réellement dans notre corps.
Un esprit assailli par les problèmes et les conflits est un esprit qui n’a pas résolu la question de la relation.
Il est dépourvu d’amour, de simplicité, et est malheureusement incapable d’aller au-delà de son propre horizon, qu’il s’est lui même fixé, par conditionnement.
Il ne peut donc atteindre que des choses limitées, alors qu’il les croit situées au-delà.
Méditer en silence
La méditation, c’est l’abolition du temps.
Il faut d’abord médité de manière consciente et totalement lucide pour découvrir la véritable notion du temps.
Le temps est effectivement bien réel, et nécessaire lorsqu’il s’agit de se rendre d’un lieu à un autre.
Cependant, lorsqu’on y réfléchit vraiment, le temps est un concept inventé, il n’existe pas pour autant.
Cette découverte est une vérité essentielle car, en affirmant cela, nous nous démarquons peu à peu des traditions.
La méditation porte un regard vers l’intérieur et c’est un soin naturel.
Pour peu qu’on soit sérieusement motivé, et qu’on ait atteint un point où l’on décide de renoncer à tous les pièges dans lesquels l’Homme n’a de cesse de tomber, alors l’esprit, les sens ainsi que le cerveau sont inondés d’un amour inconmensurable, qui possède sa propre forme d’intelligence.
Un esprit qui s’avère être calme, silencieux, ne l’est effectivement pas uniquement sur le plan matériel, physique. Le silence ainsi que le calme n’impliquent pas de patienter des heures dans une position assise ou une position donnée. Vous pouvez vous allonger, et faire ce que bon vous semble. Il est seulement important que votre corps soit parfaitement détendu.
Il ne faut pas chercher non plus à exercer un contrôle sur lui, car vous risquez de créer un conflit.
Dès que l’esprit sera libre, et donc parfaitement silencieux, vous deviendrez lucide.
Vous pouvez observer car être spectateur nous éloigne de toute problématique.
On ne fait aucune auto-suggestion, auto-hypnose.
Il n’y a plus rien d’autre que l’observation, durant votre méditation.
Le « je » n’est plus là.
Il n’y a aucune dualité ni division, vous êtes seul et vous appréciez de le redécouvrir.
A ce stade-là, il n’y a plus de « je » qui est en train d’observer ; seule l’observation subsiste.
Vous voilà, en train de pratiquer la méditation simplement.
Car plus c’est simple p^lus c’est efficace.
Écoutez le silence entre chaque son.
Vous êtes dans une profonde démarche d’investigation de la conscience du soi sans ego, ainsi que la connaissance de tous vos désirs, problèmes, influences, conflits intérieurs et souffrances.
Vous êtes sur le chemin du rétablissement, du soin, de la paix et de l’amour.
N’est-ce pas formidable ?
Peu importe le temps, que ce soit une à 15 minutes pour débuter, ou d'une à 2 heures.
A l'intérieur de votre coeur vit l'étincelle divine, l'essence immortelle de tout être humain.
Cette Essence est reliée à la nature, la source, l'esprit universel de vie, à l'Intelligence Infini ou dieu selon comment vous l’appelez.
La ville rime avec bruit et il y est parfois nécessaire de trouver un espace de silence et de méditation.
Beaucoup s’habitue à cet environnement sonore au point de ne plus se sentir confortable en présence du silence. Beaucoup sont trop accaparés par les nombreuses activités, distractions et responsabilités, ce qui ne laisse que peu de place pour être seul avec soi-même.
Pourtant, le bruit est indéniablement une grande source de stress physiologique, psychologique et de vieillissement.
Suivre le courant aide aussi à se relaxer.
Le silence, un luxe de plus en plus cher.
Hélas, s’offrir du silence est aussi luxueux qu’effrayant pour certains.
Combien de gens connaissez-vous qui sont réellement confortables à s’asseoir avec eux-mêmes et juste demeurer en observation ?
Observer est en effet une des premières attitudes que la méditation développe.
C’est réellement au travers du silence que l’esprit peut s’aiguiser.
Cela favorise l’observation et améliore la compréhension.
Il offre aussi la possibilité de s’accorder un temps de réflexion avant de parler.
On peut mieux choisir ses mots.
D’ailleurs, de nombreuses sociétés initiatiques imposent au nouveau venu une période de silence.
Cela permet de développer plusieurs capacités, dont l’observation et l’écoute.
Autrement dit, c’est dans le silence que la valeur de la parole prend tout son sens.
C’est pour cela que l’on reconnaît l’importance du silence et de la méditation dans le processus de prise de conscience.
Grâce au calme, le regard s’éveille, s’élargit, et réalise certaines vérités.
Apprivoisez la peur du silence par la méditation.
Cette capacité humaine merveilleuse contribue certainement à nous distinguer des autres espèces et, paradoxalement, à nous faire se sentir isolé et seul sur cette petite planète bleue perdue dans l’univers.
Or, celui qui apprend à apprivoiser le silence peut y puiser une force indéniable, celle de créer du nouveau.
Le bruit vécu comme une source de distraction coupe très souvent l’individu de son intuition, de sa créativité, de ses émotions.
Il en vient parfois à courir sans direction précise.
Le silence offre donc un espace de changement, une occasion de s’arrêter pour penser, voir et agir différemment, pour mieux saisir ce qui nous pousse à adopter certains comportements.
C’est une approche particulièrement efficace permettant de mieux connaître le fonctionnement de son esprit.
C’est pourquoi je me plais à croire que dans un sens, nous sommes tous, chacun à notre manière, des artistes en puissance dont la capacité à créer de nouvelles manières de pensées et d’être face à la vie nous habite.
La voix du silence et de la méditation peut se pratiquer aussi bien en marchant, en faisant la vaisselle, en prenant le bus, en se lavant, qu’en étant assis afin de se questionner sur nos comportements.
Quelque soit la méthode qui vous convient le mieux, elle offre un temps de recul, d’introspection permettant d’augmenter la présence à soi et à l’autre pour apaiser un esprit vagabond. Surtout, évitez d’en faire une routine, une activité ennuyante. Méditez plutôt lorsque vous le pouvez et le voulez, pour en éprouver du plaisir.
On peut utiliser la méditation pour rétablir une respiration plus régulière et naturelle ou pour découvrir les peurs qui nous habitent face à une situation précise.
Elle peut aussi s’avérer efficace pour préciser les blessures du passé qui influencent nos réactions dans une relation, pour faire le tri dans nos pensées, se préparer à vivre une étape de vie délicate (vieillissement, maladie, décès…).
Elle offre également la possibilité de développer certaines qualités comme la tolérance, la patience ou la compassion via la reconnaissance pour ce que nous possédons et réussissons.
En bref, c’est en s’aménageant des moments de plus grande présence à soi que l’on peut trouver des solutions à ses problèmes.
Il devient alors possible en pratiquant la méditation de trouver à l’intérieur de soi un espace de silence rassurant et agréable qui augmentera progressivement votre bien-être personnel.
Choisissez un petit mot qui n’aie aucune signification pour vous et dont la sonorité vous est agréable, exemple >
om……. ou oui…… ou hu…….
Vous pouvez en choisir un parmi ceux-ci ou en trouver un par vous même.
Si ce mot avait une signification quelconque, automatiquement il créerai dans votre mental une image et cette image en amènerai d’autres et ainsi de suite.
Or, ce que l’on cherche à faire ici, c’est d’apaiser le mental et se laisser être dans cet espace de grand silence intérieur.
Assis confortablement, fermez les yeux et commencez par prendre 4 ou 5 respirations profondes pour vous relaxer
un peu et prendre contact avec votre corps.
Ensuite commencez à répéter mentalement le petit mot plusieurs fois
Répétez le en pensées, en douceur, sans effort, sans concentration, sans vouloir lui imposer un rythme particulier, pensez le simplement, ne lui donnez pas un rythme trop rapide, cela doit être agréable, simple et doux.
Évidemment, il va y avoir tout un tas de pensées qui vont danser dans tous les sens et se bousculer, ne vous en occupez pas, n’essayez pas de les chasser, ne luttez pas contre elles, regardez les passer sans vous y attacher, sans les nourrir, sans leur donner suite, regardez les comme si vous regardiez un film, acceptez les, acceptez qu’elles soient présentes mais ne vous y attachez pas.
Les pensées qui émergent comme ça, créent des chaînes de pensées, une pensée en amène une autre et ainsi de suite, alors parfois vous serez entraîné par ce genre de pensée.
Dès que vous prenez conscience de cela, dès que vous remarquez que vous n’êtes plus sur votre petit mot, vous reportez alors votre attention en douceur sur le petit mot.
Sans effort, vous revenez sur lui en le répétant encore.
Lorsque vous prenez conscience que le petit mot devient tout fin, tout subtil, comme si il était là de lui même sans que vous ayez à le penser, comme si il flottait en vous, alors à ce moment là, cessez de le penser, lâchez-le pour n’être plus que silence.
Voilà, c’est tout simple, faites cela puis allongez-vous quelques instants.
Ensuite revenez tout en douceur.
Parfois vous aurez beaucoup de pensées et vous vous sentirez peut-être plus agité, d’autres fois vous serez dans un calme très profond soyez tolérants avec vous, la vie est parfaitement imparfaite.
Il n’y a rien à réussir, cela se passe toujours de la meilleure façon qui soit pour vous dans l’instant présent.
Si vous n’êtes pas en silence, alors acceptez de ne pas être en silence.
Si il y a beaucoup de pensées et que vous êtes agités, acceptez cela aussi.
Acceptez et lâchez prise.
Vous êtes sur la voie de l’unification et du non jugement intérieur.
Sciences et méditation.
Les neurosciences bouleversent les idées sur la méditation.
La méditation améliore la santé et renforce le système immunitaire.
La Science a montré des effets positifs sur de graves maladies comme le cancer et les maladies du coeur.
Réduit les tendances compulsives et addictives.
Méditer augmente la durée de vie.
Augmente l’intelligence sociale et émotionnelle. Elle développe l’empathie et la compassion et améliore les relations.
Augmente la mémoire, la concentration et l’attention.
La méditation améliore la prise de décision.
Méditer développe la créativité.
En améliorant le bien-être des salariés, la méditation est devenue un nouvel outil pour augmenter la productivité.
Des effets jusque dans l’ADN.
Les bienfaits de la méditation sont visibles au niveau moléculaire, dans certains gènes et marqueurs épi-génétiques.
Un stress oxydatif endommage les cellules, alors que la méditation réduit l’expression de gènes liés à l’inflammation, grâce vraisemblablement à une meilleure régulation du taux de Cortisol, l’hormone du stress.
Des prélèvements de salive avant, pendant et après un test d’entretient type concours ont permis de mesurer le taux de Cortisol, la principale hormone du stress.
Résultats, les méditants experts reviennent plus rapidement à un niveau normal de Cortisol après avoir subi un épisode stressant.
On lutte contre les rechutes dépressives en considérant la méditation comme une approche complémentaire aux psychothérapies classiques ou brèves et aux antidépresseurs.
Pour plus de clarté, faite qu’un seul exercice de méditation simple, pendant une minute minimum par jour.
Cet exercice s’appelle méditation sur le souffle en pleine conscience.
Il s’agit de se concentrer sur la sensation provoquée par votre respiration –par exemple, l’air qui coule dans et hors de vos narines.
Si des pensées, des sentiments ou d’autres impressions provoquées par vos sens surgissent, il vous faut simplement en prendre acte, puis vous reconcentrer sur votre souffle, sans vous intéresser à la distraction qui vient de se produire ou y penser davantage.
Il est curieux que le simple fait de se focaliser sur son propre souffle, de manière équilibrée, puisse avoir un tel effet sur la concentration et la mémoire de travail.
Cela se produit parce que la méditation constitue une forme d’entraînement du réseau cérébral.
Les mêmes réseaux, activés de façon répétitive au sein du cerveau, deviennent plus efficaces.
L’intérêt de ces résultats pour la vie quotidienne est évident. Rester concentré, distinguer les informations importantes de celles qui ne font que nous distraire et les garder en mémoire sont des compétences importantes dans un contexte de surcharge d’information.
S’équilibrer
Etre maître du mental et de ses émotions.
Prendre du recul par rapport à soi.
Sans un minimum de recul par rapport à soi-même, il est difficile voir impossible de se soustraire à la puissante force de nos émotions, surtout lorsqu’elles ont été longtemps refoulées.
Il faut comprendre que tant que l’on refoule ou masque ses émotions, ces manifestations demeurent pour nous un phénomène inconnu dont il est impossible de se libérer.
C’est d’ailleurs dans ce but que certaines démarches proposent un «défoulement.»
Ce n’est pas par hasard si vous contrôlez ses émotions.
C’est un mécanisme de défense qui jusque-là donnait le sentiment de se protéger contre un danger, ou ce que l’on croit en être un.
Libérer ainsi violemment ses émotions c’est comme lever soudainement un barrage.
Face à ce déferlement d’énergie, l’on peut renforcer sa peur et ainsi durcir ses mécanismes de défenses, et donc développer une plus grande névrose.
Vous l’aurez donc compris, c’est en apprenant, avec patience, à faire connaissance avec soi, que l’on parvient à une parfaite maitrise de ses émotions et qu’en même temps, nos angoisses peuvent disparaitre.
L’angoisse n’est pas en soi une pathologie mais plutôt un indicateur, un signe que la personne ne vit pas ou plus en accord avec elle-même.
Beaucoup de personnes redoutent de sortir de leur confort moral et lorsqu’elles se trouvent confrontées au changement, elles prennent peur parce qu’elles se sentent menacés dans ce confort bien illusoire qui pour elles représentait une sécurité.
C’est en prenant conscience de ses véritables potentiels et les ressources qu’offre leur utilisation consciente que la personne retrouvera une plus grande paix intérieure et une saine maitrise des émotions.
L’objectif est d’abord de donner une plus grande stabilité à la conscience pour qu’elle se libère de l’identification aux pensées afin de ne plus subir leur force coercitive.
La conscience possède une qualité de connaissance.
Une fois libérée de cet attachement, elle peut en effet apprécier toute chose pour ce qu’elle est, si bien sûr, elle ne se trouve pas pas sous l’emprise du jugement.
Pensez à la prise de conscience soudaine qui vous éclaire la situation sous un jour nouveau, parce que vous avez pris suffisamment de recul.
Lorsqu’en effet, vous parvenez à prendre de la distance par rapport aux circonstances et à vous-même, vous pouvez atteindre un certain degré de clarté de la conscience, ce qui est beaucoup plus difficile en état ordinaire.
C’est pourquoi il est indispensable d’entrainer la conscience à la stabilité.
Mais comment faire ?
Par le développement de la concentration intérieure.
Cette forme de concentration, que l’on devrait appeler plutôt « attention focalisée », permet d’atteindre un certain détachement (qui n’a rien à voir avec de l’indifférence) par rapport à soi-même et notamment à ses pensées.
Ainsi libérée de l’identification à ses propres processus mentaux, la conscience peut en apprécier la véritable nature et de fait s’en libérer beaucoup plus facilement.
C’est un peu comme si on prenait un hélicoptère et que l’on voyait les évènements d’en haut.
Momentanément libéré de l’emprise des émotions, il devient alors possible d’apprécier à leur juste valeur ces évènements mentaux.
Il ne s’agit pas d’analyse, mais d’une prise de conscience directe du phénomène observé.
Se familiariser avec ses émotions pour s’en libérer
Cette pratique permet en effet de prendre une saine distance par rapport à soi-même et ainsi de se « familiariser » avec ces « évènements mentaux » avec lesquels, petit à petit, on parvient à atteindre une certaine aisance.
Une manière habile de se réconcilier avec soi-même.
Souvent nous confondons ressentir, éprouver une émotion et être emporté par elle, ce qui n’est pas du tout la même chose. Il est difficile en effet de se familiariser avec ses émotions si l’on en est constamment l’esclave.
Apprendre à s’accepter
L’aisance s’acquiert par l’habitude, en se familiarisant avec ces évènements inconnus.
En développant sa concentration et en acquérant ainsi plus de stabilité, nous pouvons commencer à faire connaissance avec nous-même et apprendre à nous accepter tel que nous sommes sans jugement ni vision dualiste, et donc de nous aimer ou nous apprécier davantage nous-même.
L’acceptation est en effet le point de départ de toute transformation et de tout changement positif, parce que dès lors il est possible de voir les choses telles qu’elles sont vraiment et non plus telles qu’elles nous apparaissaient en apparence, et cela est valable pour nos pensées et nos émotions.
Souvent en effet, on verra que derrière la colère se cache une frustration ou de la peur, derrière une jalousie la tristesse de ne pas obtenir ce que nous désirons etc…
C’est de cette manière que nous pouvons découvrir qui nous sommes vraiment et ne plus avoir peur de ces soi-disant démons.
Des pratiques comme la visualisation, l’imagerie mentale, la suggestion, amène à l’acceptation de soi et la confiance en soi.
Permettont d’accroître notre paix intérieure et de faire de ces ennemis de notre sérénité de véritables alliés.
Pour le dire autrement, nous transformons ainsi le « venin en remède »
Prenons l’exemple d’une personne qui souhaite parler en public.
L’idée première ne lui fait pas forcément peur mais lorsqu’elle se retrouve face à un groupe, elle perd tous ses moyens, n’arrive plus à mettre un mot devant l’autre, ses pensées s’affolent, elle se sent complètement submergée par l’émotion qu’elle n’arrive plus à écarter.
Elle tente de toutes ses forces de ne pas se laisser contrôler par l’émotion, malheureusement, plus elle se débat contre cet état d’être, plus elle a de la difficulté à rester calme.
C’est au prix d’un effort surhumain qu’elle parvient tant bien que mal à dire ce qu’elle voulait dire.
Seulement, le message n’est pas bien passé, ce qu’elle manifeste n’accompagne pas ce qu’elle voulait dire, pourtant elle connait parfaitement le sujet.
Une fois la pression retombée, elle est épuisée, se juge, se critique, pense qu’elle a été mauvaise, bref elle se dévalorise. C’est le genre de situation qui peut entraîner une perte d’estime de soi.
Situation similaire lors d’un un examen, un entretien d’embauche ou face à un examinateur ou bien encore dans une compétition sportive.
Le manque de contrôle des émotions nous limite considérablement dans nos possibilités.
Pourtant, l’émotion pourrait nous être tellement utile parce qu’elle donne de la vie à nos échanges, colore nos discours, élève notre créativité et notre âme.
Mais alors que faire pour gérer ses émotions ?
L’erreur à ne pas commettre est de considérer ses émotions comme des ennemis et ainsi entrer en lutte contres elles. Comme nous l’avons vu, c’est peine perdue.
Il convient plutôt de les considérer comme un cheval fougueux qui ne demande qu’à être apprivoisé pour devenir notre ami.
L’émotion est une énergie, et comme toute énergie, pour être constructive et utile, a besoin d’être canalisée.
C’est pourquoi nous devons bien faire la distinction entre « gérer ses émotions » et les contrôler.
Il existe quelques « remèdes » utiles.
La respiration pour mieux gérer ses émotions comme je le dis et redirais encore.
Allez marcher aussi plutôt que de l’exercice parce qu’elle ne vous excitera pas, vous pouvez marcher, même vite, sans vous laisser emporter par le mouvement, en restant présent à vous-même.
Pratiquez l’autosuggestion, elle doit être utilisée avec intelligence car il ne s’agit surtout pas de masquer les émotions mais d’établir un dialogue avec soi-même.
Imaginez un instant une personne dans la même situation que vous.
Quel genre de paroles aurait-elle besoin pour traverser cette émotion, que lui diriez-vous ?
Faites la même chose avec vous-même.
Parlez-vous à vous-même comme vous parleriez à un ami.
Anticipez vos émotions
De la même façon que vous vous préparez à une situation à venir, vous pouvez aussi vous préparer à cet « événement mental ».
Grâce à la visualisation du futur, vous pouvez voir par avance quelle attitude adopter lorsqu’une émotion se manifestera. C’est bien connu, la meilleure façon de gérer un stress est de l’anticiper.
Utilisez vos expériences passées pour vous libérer par exemple.
Lorsque vous avez vécu une émotion forte, voire violente, plutôt que d’essayer d’oublier l’événement en question, regardez ce qui s’est réellement passé.
Comment êtes-vous entré si facilement dans cette colère, comment la jalousie vous a pris par le bras, comment l’angoisse ou l’anxiété vous ont submergé ?
Là aussi, utilisez la visualisation et surtout l’imagerie mentale en verbalisant à haute voix tous les détails de la scène. Repassez le film de la situation ; si vous avez développé suffisamment votre concentration intérieure, il vous sera plus aisé de regarder cette « scène » avec recul et détachement et de mieux comprendre ce qui vous est arrivé et donc de vous en libérer.
Développer la confiance en soi est le pilier sur lequel repose la réussite d’une vie.
Quoi que vous vouliez réaliser, vous avez besoin d’une certaine dose de confiance en vous-même.
Le manque de confiance en soi est particulièrement pénalisant et il est souvent à l’origine des émotions que nous vivons.
En effet, une personne qui en souffre se blessera plus facilement avec une remarque faites à son encontre, elle sera plus volontiers submergée par l’émotion lorsqu’elle sera confrontée à une situation adverse.
Se libérer des émotions en allant à la racine
Ce n’est pas l’émotion qui représente un obstacle mais notre incapacité à la maîtriser.
Une émotion n’est en soi ni bonne ni mauvaise, c’est ce qu’elle « transporte » avec qu’elle qui crée la souffrance.
Elle ne se réveille pas, en effet, par hasard.
Comme nous en avons parlé plus haut, l’émotion trouve sa source dans notre perception plus ou moins consciente de la réalité.
Si nous voulons réellement pacifier nos émotions, c’est à la racine de la difficulté que nous devons aller.
Pour cela, nous pouvons au moment même où l’émotion s’élève percevoir le scénario mental auquel elle est rattachée. Mais pour cela, nous avons besoin d’un entraînement préalable qui nous permettra de « rester là » lorsque l’émotion se manifestera à la conscience.
La méditation, la concentration intérieure, la vigilance seront les moyens par lesquels nous nous enracinerons solidement dans l’instant.
Cette démarche nous permettra déjà de regarder les circonstances sous d’autres angles en nous apportant une vue détachée de toute projection mentale.
Il importe de garder à l’esprit que la gestion des émotions est une tâche de chaque instant.
Le pratiquant averti sait qu’un manque de vigilance peut lui faire perdre les bénéfices de mois d’efforts.
Comme en musculation si on arrête tout on perd ce que l’on a gagné.
Nos tendances, même si nous sommes parvenus à les maîtriser, sont comme les fumeroles d’un vieil incendie prêt à s’embraser à nouveau.
Mais quelle joie et quel bonheur lorsque nous sommes enfin parvenus à « chevaucher » nos émotions car elles peuvent nous transporter vers les plus hauts sommets de notre accomplissement personnel.
L'aïkido permet de gérer les agressions extérieur donc intérieur.
Art martial conjugué à un véritable art de vivre, l'aïkido apprend notamment à supprimer la crainte d'une agression. Comment ?
En se servant de la force de l'adversaire pour se défendre. Vêtus d'un kimono, les pratiquants travaillent plusieurs techniques d'autodéfense.
Tout est calculé pour ne pas blesser le partenaire.
«Nous recherchons la pureté du geste et de l'état d'esprit». On considère le ventre comme le siège des émotions.
Les élèves travaillent sur leur corps pour faire descendre les tensions de la journée, accumulées au niveau des épaules. Enfin, durant chaque combat, l'attaquant devient défenseur, et inversement.
«On apprend à être celui qui ne gagne pas, il y a une vraie noblesse, même dans l'échec».
La première étape pour contrôler ses émotions, c’est d’apprendre à les identifier et à les reconnaître.
Plusieurs recherches menées ont identifié chez les êtres humains les émotions principales suivantes > la joie, la peur, la colère, la tristesse, la surprise, le dégout, la culpabilité.
Si par exemple, votre supérieur hiérarchique vous annonce son désir de vous transférer à un autre département, cette annonce peut par provoquer un pincement au ventre et une sensation de mal de tête soudain.
Ces réactions seraient des signes de peur, notamment de l’inconnu.
L’idée ici est de repérer les signaux que vous renvoient votre corps et votre mental face aux différentes situations et d’en avoir conscience.
C’est à partir de là que vous pourrez mieux contrôler et canaliser vos émotions.
Dès que vous savez identifier chacune de vos émotions, les anticiper vous permettra d’être mieux préparé. À titre d’exemple, si vous êtes en train de visionner une rencontre entre votre club sportif favori et un challenger redoutable, envisager à l’avance que l’équipe que vous supportez peut gagner ou perdre.
Si la défaite vous donne souvent la sensation d’avoir la gorge sèche, vous savez donc qu’il faut avoir une bouteille d’eau près de vous.
Il s’agit bien ici d’identifier ses émotions et de se préparer à l’avance pour mieux les contrôler et les canaliser.
Adopter et avoir une attitude Zen, c’est avoir une posture mentale neutre et équilibrée peu importe ce qui est entrain de se passer.
Imaginez ceci, une personne prononce des paroles irrespectueuses à votre encontre.
Il y a de fortes chances que cette personne s’attende à une contre-attaque venant de vous.
Mais vous restez calme, ne montrant aucune colère, aucune frustration ou toute autre émotion de ce genre.
Dans la plupart des cas, cette personne sera prise de panique, parce que rien ne se passe.
Cette personne, soit continuera, soit s’arrêtera.
C’est exactement ce que font certains professionnels et personnes qui ont du succès dans l’art de résoudre les malentendus avec les autres.
La zen attitude est donc fortement recommandée à ceux et celles qui veulent contrôler leurs émotions pour tirer le meilleur en toutes circonstances.
La personnes en face se sentira comprise car sa colère ne vous est pas adressé directement c’est inconscient.
Que vous aillez à gérer du stress au travail, dans vos relations sociales, ou encore par exemple lors d’activités de loisirs tel qu’une partie de poker en ligne, la clé est la maîtrise de soi.
Au poker comme dans la vie, il faut se forger un mental d’acier pour atteindre la quiétude et mieux gérer les émotions du quotidien.
Parler à quelqu’un de professionnel pour gérer vos émotions sans que l’autre n’est de parties pris.
Lorsque vous faites face à une situation qui vous ennuie, par exemple la peur parce que vos performances en entreprise ou vos relations dans votre vie sociale se détériore, parlez-en.
Pendant un ou plusieurs échanges vous pourrez certainement trouver des raisons de relativiser, et d’éviter la dépression que ces situations peuvent entraîner.
Avoir une oreille compréhensive est essentiel pour comprendre la légitimité de nos émotions, et pour avoir un point de vue plus extérieur aux situations stressantes du quotidien.
Se parler à soi-même encore appelé l’autosuggestion est une méthode qui a de grand résultat quand on choisi les mots avec conscience.
Pour facilement comprendre comment gérer ses émotions en utilisant l’autosuggestion, il faut utiliser ou créer des mots que l’on se répète à soi-même.
Par exemple, à chaque fois que vous êtes triste parce que vous avez un malentendu avec une personne que vous appréciée, si vous vous dites de façon répétitive « après la pluie, vient le beau temps », il y a de forte chance que votre tristesse se transforme en espoir.
Tout ce qu’on dit on le crée, dire même si paradoxalement c’est inconfortable le contraire du négatif.
Vous obtiendrez au début 1% puis très vite 10% jusqu’a 100% voir 200 ou 2000% voir 20000% de résultats positifs.
Nous savons que notre cerveau reptilien est capable de nous pousser à adopter des comportements automatiques par instinct.
Mais il n’y a pas que par instinct que nous pouvons adopter de tels comportements.
La rapidité de notre cerveau limbique qui est le centre de nos émotions, nous conduit également à avoir des réflexes spontanés.
La théorie du réflexe conditionné proposée par Ivan Pavlov démontre que notre organisme, au travers d’un apprentissage, peut également associer certains stimuli de l’environnement avec des réactions automatiques.
Or, lorsque nous agissons par instinct ou par conditionnement, c’est sans utilisation de notre cerveau cortical qui est lui le centre de la raison.
C’est donc, d’une certaine manière, une influence externe qui détermine nos comportements.
Ce n’est pas nous qui en prenons la décision proprement dit.
Le shéma = Stimulus + choix + réponse.
Apprendre à se détacher facilement des choses
ou des gens
Mettre en place des limites.
Vérifiez les, elles sont des restrictions que vous mettez en place pour vous protéger.
Renforcez vos limites.
Détachez-vous émotionnellement pour communiquer vos intentions.
Suivez les limites que vous vous fixez.
Préparez un plan de secours.
Se détacher d'une situation.
Sachez reconnaitre les moments qui peuvent empirer facilement.
Restez calme.
Revenez lorsque vous êtes calme.
Utilisez des phrases avec « je ».
Partez si cela est possible.
Se détacher temporairement d'une relation.
Détachez-vous sans négliger vos responsabilités en commun.
Prenez de l'espace physique.
S'il vous pose des questions, expliquez à votre partenaire que vous avez besoin de vous concentrer sur vous-même pendant un moment.
Demandez le soutien de vos amis.
Concentrez-vous pour entrer en contact avec vous-même.
Décidez de l'étape suivante.
Se détacher de façon permanente de la relation
Faites une pause dans les contacts avec votre ex.
Faites une pause des réseaux sociaux.
Souvenez-vous pourquoi la relation en est arrivée à sa fin.
Sachez pardonner.
Prenez soin de vous.
Dites-vous que c'est une transition, pas une perte.
Sortez de nouveau lorsque vous vous sentez prêt.
Concentrez-vous sur vous-même.
Prenez conscience que vous ne pouvez contrôler personne d'autre que vous.
Utilisez des phrases avec « je ».
Prenez du recul.
Prenez régulièrement du temps pour vous-même.
Apprenez à vous aimer.
Exprimez vos sentiments.
N'idéalisez pas le passé.
Mettez-vous le plus possible en retrait.
Ne vous dépréciez pas.
Ne rejetez pas la faute sur toute l'humanité.
Gardez vos pensées négatives à distance.
Appuyez-vous sur vos amis.
Sachez qui vous êtes et appréciez-vous.
Évaluez vos qualités.
Évaluez votre bonheur.
N'attendez pas que cela arrive.
Gardez des distances physiques.
Soyez clair.
Ne culpabilisez pas.
Concentrez-vous sur vous-même.
Lâchez prise aux regrets.
Comprenez les étapes du deuil.
Ne faites pas votre deuil tout seul.
Retrouvez-vous.
Regardez vers l'avenir.
Pour tourner la page, écrivez une belle lettre d'adieu.
Sachez que le « lâcher-prise » va se produire.
Ayez une vision la plus positive possible.
Entourez-vous d'autres personnes.
Faites preuve de bonté.
Prenez de la distance.
Sachez ce que vous attendez des amis à venir.
Ne vous concentrez que sur ce qui peut être changé.
Être fort c'est savoir se détacher de ce qui nous nuit.
Être fort c’est aussi se faire passer en priorité et devenir maître de sa vie, laissant partir ce qui nous fait parfois du mal et qui nous empêche d’avancer, avec intégrité et équilibre.
Être fort c’est se réveiller chaque jour en trouvant un sens à votre vie.
Le monde est rempli de personnes “sans vie”, qui errent autour de nous sans but, sans espoir, sans projet.
Le fait d’avoir de l’espoir et de croire en soi vous apportera de la force et de la fermeté.
Une personne forte n’est pas une personne qui a du pouvoir, qui a la capacité de contrôler ou de dominer les autres.
Être fort c’est aussi jouir de sa liberté et éviter les liens toxiques qui font du mal et qui nous empêchent d’avancer.
Être fort c’est aussi savoir dire NON à ceux qui vous feront toujours passer après eux, à ceux qui se regardent le nombril et qui ne pensent qu’à leur propre univers, sans percevoir la souffrance des autres et le vide émotionnel que leur attitude engendre.
Vous serez fort lorsque vous parviendrez à éloigner tout ce qui ne vous rend pas heureux, que ce soit des personnes, des choses, des scénarios ou même des pensées.
Nous ne sommes pas toujours blessés par un élément extérieur, mais parfois par notre propre attitude face à des situations dans lesquelles nous nous enfermons et nous nous mettons des barrières.
Découvrez de nouvelles façons de faire évoluer votre conscience & votre esprit
Permettez vous d’être triste
Réalisez que les relations ne sont pas censées vous faire sentir bien autant qu’elles sont supposées vous enseigner quelque chose et vous aider à grandir
Apprenez à faire la différence entre l’amour, la convoitise et l’attachement
Apprenez à canaliser vos sentiments afin de vous propulser vers quelque chose de plus grand
Coupez tout contact
Ne vous attendez pas à l’oublier en restant allongé sur votre lit toute la journée à penser à votre histoire
Écrivez les raisons pour lesquelles ça n’a pas fonctionné et pourquoi vous n’étiez pas heureux(se), et gardez cette liste avec vous
Acceptez le fait que vous ne vous remettrez peut être jamais de cette personne, mais laissez-la tout de même faire partie de votre histoire
Ne soyez pas frustré lorsque vos pensées persistent à se diriger vers cette personne
« Pour te libérer de la souffrance, libère-toi de tes attachements. »
Les 7 principes du détachement >
A/ Les gens sont responsables d’eux-mêmes.
B/ Arrêtez de présumer que vous pouvez régler les problèmes qui ne vous appartiennent pas.
C/ Rester en dehors des responsabilités d’autrui et concentrez-vous sur les vôtres
D/ Se préoccuper des problèmes d’autrui ne les aide pas.
Si un être aimé a contribué à créer un problème majeur pour eux, alors il est nécessaire qu’ils le résolvent par eux-mêmes, qu’ils aient le droit d’être qui ils sont et d’avoir la liberté d’être responsable d’eux-mêmes.
E/ Vivez dans le présent et arrêter d’essayer de contrôler les autres
F/ Profitez au maximum de chaque journée et appréciez ce que vous avez en ce moment.
G/ Acceptez votre réalité et ayez foi en vous-mêmes.
Si quelqu’un a besoin d’aide avec un problème, faites ce que vous pouvez pour le résoudre et puis arrêter d’obséder à propos de cela, en sachant que vous avez fait ce que vous pouviez.
1- Diversifiez vos relations
Quand on souffre d’être trop attaché à quelqu’un, c’est parce qu’on attend de cette personne qu’elle comble tous nos besoins.
On se focalise sur elle.
C’est un véritable calvaire à vivre.
Pour se détacher des autres, une chose à savoir c’est de diversifier ses relations.
Cessez l’exclusivité.
Autrement dit, ne pas tout attendre d’une seule et même personne.
D’autres personnes de ton entourage peuvent aussi combler certains de tes besoins.
Il se peut même qu’il existe des personnes autour de vous aux quelles vous n’avez pas pensé et qui seraient ravies de passer un moment avec vous, de vous soutenir et de vous aimer.
2- Aimez vous
Parmi ces personnes qui peuvent combler vos besoins, la première qui peut le faire c’est vous-même !
Il n’est pas question ici d’égoïsme ou de narcissisme exagéré. Il est question d’amour de soi.
Quand on aime la personne que l’on est, on est à l’abri de souffrir à cause des autres.
Parce qu’on veut préserver cet amour qui nous est si précieux.
Surtout quand on a passé du temps et de l’énergie à le gagner !
Apprendre à s’aimer soi-même est une condition sine qua none pour vous détacher des autres et mieux les aimer.
Si vous aimez vous-même, vous n’avez plus besoin de vous attacher aux autres comme à une bouée de sauvetage.
3- Si ça ne marche pas avec quelqu’un, c’est pas grave
Ça peut arriver qu’on fasse des rencontres amicales ou amoureuses pour lesquelles on a un coup de coeur, et que ça ne soit pas partagé par l’autre.
Pourtant notre intuition nous dit que ça colle, on se sent bien en présence de cette personne, on est sur la même longueur d’ondes, mais l’autre ne semble pas partager notre ressenti.
Au lieu de s’acharner à vouloir faire ouvrir les yeux de l’autre, passe ton chemin.
C’est pas grave.
Il existe beaucoup de personnes sur la planète avec lesquelles on peut être sur la même longueur d’ondes.
Croire que seul cet autre nous correspond est une illusion. Cessez de croire en cela aide à se détacher des autres.
4- Vous n’êtes plus la seule à prendre des nouvelles.
Un autre truc qui aide à se détacher des autres, c’est de cesser d’être la seule personne à prendre des nouvelles.
Une relation doit être réciproque, aller dans les 2 sens, sinon ce n’est pas une relation.
Quand ça ne va que dans un sens, l’autre devient une bouée de sauvetage à laquelle on s’attache soi-même.
Cessez d’attendre après un coup de fil, un SMS, un message Facebook.
Si l’autre a envie de vous voir et d’avoir des contacts avec vous, il vous le fera savoir.
Il vaut mieux que vous vous sentiez mal quelque temps que de rester attaché à quelqu’un qui vous fera souffrir pendant longtemps.
5- Vérifiez vos sentiments
Parfois, on est attiré par quelqu’un et on est mitigé sur ce qu’on ressent.
On ressent de la joie mais aussi des trucs bizarres.
On ne sait pas trop ce que c’est, on a du mal à définir, il y a des choses qui nous mettent mal à l’aise, des choses chez l’autre qui ne nous reviennent pas.
Stop, on arrête tout de suite !
Relation toxique en vue !
Pour se détacher de ces autres qui pourraient vous être nuisibles, vérifie d’abord tes sentiments, est-ce que ce que vous ressentez c’est pleinement de la joie ? Est-ce que vous êtes parfaitement à l’aise avec cet autre ? Est-ce que vous vous sentez parfaitement bien avec cette personne ?
Si ce n’est pas le cas, si votre petite voix vous dit qu’il y a quelque chose qui cloche, même si vous ne savez pas ce que c’est, faites-lui confiance, écoutez-là et fuyez !
6- Ne plus chercher à sauver le monde
Nombreux sont ceux qui veulent aider les autres à tout prix. Ça part toujours d’une bonne intention.
Vous pouvez tendre des perches aux autres, mais s’ils ne la saisissent pas, qu’est-ce que vous faites ?
On fait souvent l’erreur de plonger avec eux pour les sauver, quitte à se noyer.
Se détacher des autres, c’est aussi se détacher de l’idée qu’il faut absolument que le monde soit peuplé de gens heureux comme vous vous l’entendez.
Ne voyez pas cela comme une critique, mais ayez en tête que vous ne savez pas ce que recherche l’âme de l’autre dans cette vie-ci.
Même si vous ne comprenez pas pourquoi ils disent ou font ce qu’ils font, ce sont leurs choix et cela ne vous appartient pas.
7- Laissez le temps faire ce qu’il a à faire
Se détacher des autres implique de laisser le temps à tes sentiments de vivre à l’intérieur de vous.
Si vous avez eu le coup de cœur pour quelqu’un qui ne l’a pas eu en retour par exemple, vos sentiments auront besoin de temps pour vous quitter.
Accordez-vous le droit d’être triste, d’avoir des regrets, d’être déçu, de vous sentir mal.
C’est tout à fait normal de ressentir des sentiments et des émotions désagréables.
De plus, le fait de les laisser vivre en vous, de ne leur opposer aucune résistance, de leur donner tout votre amour, fait baisser en intensité vos émotions et vos sentiments.
Puis au bout d’un moment, ils s’en vont comme ils étaient venus.
8- Apprenez à vous détacher des autres, ça s’apprend comme on apprend à parler anglais ou à jouer du piano.
Lorsqu’on apprend à se détacher des autres, on ne rencontre plus les mêmes personnes.
On rencontre enfin des gens biens, avec lesquels on se sent bien.
On entre au fur et à mesure dans l’amour véritable de soi et des autres.
« S’attacher à quelqu’un » et « aimer quelqu’un » sont deux notions très différentes.
Voici le petit texte de Jacques Salomé tiré de son livre « Jamais seuls ensemble », qui permet de saisir la différence entre ces deux approches.
« Vous aimez sans vous soumettre
Vous apprivoiser sans vous enfermer
Vous connaître sans vous figer
Vous trouver sans vous cacher
Vous rejoindre sans vous menacer
Vous accueillir sans vous retenir
Vous demander sans vous obliger
Vous donner sans vous vider
Vous refuser sans vous blesser
Vous quitter sans vous oublier
Vous remplir sans vous combler
Vous être fidèle sans vous tromper
Vous sourire sans vous attendrir
Vous découvrir sans vous étonner
Vous émerveiller sans vous abandonner à la fluidité de l’élan, à l’unisson du partage et au bonheur de rêver l’avenir
Restez ainsi vivant, libre, ouvert et s’agrandi aux possibles de nos rencontres
Ce qu’il faut retenir, pour se détacher des autres, il est essentiel de cesser l’exclusivité avec quelqu’un, de revenir à soi, et de faire confiance à ce qu’on ressent.
Ne plus se prendre la tête à vouloir sauver les autres, il existe des tas de personnes avec lesquelles on pourra s’épanouir pleinement.
Laisser le temps faire son oeuvre et accepter qu’on soit traversé par des sentiments et des émotions désagréables, ils font partie de la vie ! `
C’est ainsi qu’on devient plus heureux.
Soyez doux et bienveillant avec vous-même, allez-y à votre propre rythme.
Se détacher des autres, ça s’apprend et cela nécessite qu’on y consacre du temps.
Rester centré
Se centrer rapidement en 5 secondes >
1/ Prenez conscience de votre respiration;
2/ Parcourez votre axe vertical, des pieds au dessus de la tête et même au delà peripheriquement;
3/ Parcourez votre axe horizontal droite/gauche;
4/ Parcourez le devant et derrière de votre corps;
5/ Amenez votre centre de gravité centrale du corps (centre de gravité du corps, siège des émotions et partie profonde de l'être sensible); et choisissez une intention pour la journée.
Prenez conscience de votre respiration >
Respirez un peu plus profondément que d’habitude.
Vérifiez ce qui se vit dans votre corps au moment présent, les émotions que vous ressentez ainsi que vos sensations.
Être centré, rester centré, c’est être dans le cœur métaphorique.
Lorsqu’on est dans le cœur, on est dans la paix intérieure, dans un silence intérieur, dans l’instant.
C’est une énorme différence avec le fait d’être dans le mental.
Dans le mental, on est sans arrêt en train de se souvenir du passé pour se projeter dans l’avenir.
Les pensées se suivent sans relâche, ce qu’on aimerait, ce qu’on veut éviter.
On saute de l’une à l’autre sans un instant de répit.
On se trouve dans la tourmente, dans l’agitation, c’est comme se retrouver dans un cyclone.
Tout bouge sans arrêt, on ne maîtrise pas ses pensées, elles arrivent sans discontinuer et peuvent nous atteindre émotionnellement.
On réagit alors en réaction à nos émotions et cela fatigue et peut même épuiser.
Nous sommes dans un état de réaction constamment.
Être centré, c’est se retrouver dans l’œil du cyclone.
Tout est calme.
Nous sommes dans l’instant et la paix intérieure est là, rien ne peut la perturber.
Les évènements, les pensées peuvent continuer, mais nous ne sommes plus bousculés.
Il y a ce recul qui nous permet de les observer pour ce qu’elles sont, des pensées.
Nous pouvons constater que ne sommes pas les pensées, alors l’identification aux pensées et aux émotions cesse.
De ce fait, nous ne sommes plus en réaction à une émotion, car l’émotion est une réaction face à une pensée.
Nous pouvons agir par rapport à une situation avec du recul. Nous passons de réaction à un souvenir ou à une peur future à une action dans le moment présent.
Dans cette paix intérieure, nous pouvons agir avec discernement.
Rester centré dans un monde aussi agité.
Nous considérons l’autre comme un simple déclencheur qui nous aide finalement à comprendre ce qu’il reste à guérir en nous, et nous pouvons commencer alors à utiliser chaque situation désagréable comme un moteur pour continuer à avancer, et devenir toujours plus forts, toujours plus zens, toujours plus en paix avec nous-mêmes et donc forcément avec les autres.
Laissez aller.
Le fait est que nous ne pouvons pas contrôler les autres, ni le monde autour de nous.
Il y aura toujours des imprévus, des choses qui ne cadrent pas avec ce qu’on espérait.
Les autres auront forcément des réactions qui vont nous déplaire, qui vont nous irriter ou même nous mettre très en colère.
Nous ne pouvons pas attacher tout le monde ou mettre les autres dans un placard pour rester en paix.
Faites un simple constat plutôt que de vous juger, et continuez à faire un petit pas à la fois.
À chaque fois que quelque chose vient nous déranger, nous avons un choix à faire entre laisser nos vieux automatismes parler ou saisir la perche pour créer un changement bénéfique en nous, changement qui nous permettra de gagner en paix, en sérénité, en bien-être et en tellement d’autres choses encore pour toute la suite de notre parcours.
Mettre un espace entre le déclencheur et la réaction
Apprivoiser vos émotions pour transformer vos schémas
La connaissance de soi pour se transformer de l’intérieur vers l’extérieur
Lorsque vous transformez vos états intérieurs, pensées, émotions, croyances, vous changez de l’intérieur votre façon d’aborder la vie.
De cette façon, votre vie extérieure change véritablement !
Le hasard n’existe pas, il n’y a que des rendez vous.
Revenir à soi et rester centré.
C’est l’injonction du moment.
De grâce ne vous éparpillez pas dans tous les sens sous l’effet de la peur.
Tout est en mouvement, vous l’avez sans doute remarqué mais pour traverser, il vous faut garder votre cap.
Gardez votre foi, vos objectifs bien en ligne de mire, il vous faudra alors faire confiance au divin.
Il est question de foi et c’est l’essentiel.
Si vous vous laissez gagner par la morosité et le pessimisme, vous ne pouvez participer à l’élaboration de votre futur radieux.
La foi est une force magique.
Vous allez avoir besoin de cette magie pour traverser car les remous sont importants et la Terre s’ébroue pour passer sur un autre plan de conscience.
Vous qui aspirez à cette évolution, que faite-vous donc dans le défaitisme et la peur?
De grâce, restez connectés à votre Lumière, à votre âme, à l’essence même de toute chose !
Bien sûr il y a les obstacles nombreux, les retards encore, les vieux fantômes sortis des oubliettes.
Seule la puissance de votre foi vous permettra de traverser aisément.
Tous les êtres divins sont mobilisés pour ce passage de la Terre et le vôtre aussi.
Il ne sert à rien de croire que tout est chaos et que vous n’y pouvez rien.
Le réalisme actif est celui de la foi et de l’action impeccable, en harmonie avec vos choix profonds.
Car rester centré et connecté à soi n’est pas se mettre en dehors de toute action, il est question bien au contraire d’agir dans le sens de ce que vous croyez.
En un mot, continuez à rêver votre vie et agissez en conséquence, tenez-vous éloignés des brouillards nauséabonds et pensez à être heureux !
Plusieurs symptômes extérieurs peuvent être visibles lorsque nous ne sommes pas centrés >
Vous n’arrivez pas à vous concentrer.
Vous vous sentez mal à l’intérieur et à côté de vous-même.
Vous trouvez injuste les évènements qui vous arrive.
Vous rejettez la responsabilité sur les autres.
Vous vous cognez toujours du même côté.
Vous êtes souvent stressé.
Gérer facilement le stress
La « positive attitude »
Dans un premier temps, vous devez identifier la source de stress et vous demander si votre réaction est adaptée à la situation ou si elle est exagérée.
On se fait souvent une montagne d’un rien dans un élan négatif.
Le mieux est de positiver et de ne pas se laisser submerger en faisant face à la tâche qui vous est assignée. Dédramatisez et faites la différence entre les problèmes graves et les petits tracas du quotidien.
En étant optimiste, vous serez en possession de tous vos moyens pour affronter vos missions quotidiennes.
Organisez-vous
Même si la vie est faite d’imprévus, mettez toutes les chances de votre côté pour éviter le « stress de dernière minute ».
Une bonne gestion du temps ne vous sera que bénéfique. Notez clairement toutes les choses importantes à faire dans un agenda, faites-vous des listes quotidiennes par ordre d’importance et barrez les tâches au fur et à mesure, cela donne l’impression d’avancer et de ne rien oublier.
Évacuez les tensions, décompressez et faites-vous plaisir avant tout !
Vous êtes à bout ?
Ne vous laissez pas envahir par les tensions, libérez-vous et exprimez vos sentiments, qu’ils soient positifs ou négatifs. Ménagez-vous des moments de détente pour oublier vos soucis en vous faisant plaisir : lire un bon livre, écouter une musique que vous aimez, prendre un bain chaud, se laisser aller au cocooning, faire les boutiques...
Et riez !
Il y a des vidéos thérapeutique en grand nombre sur YouTube.
Autant d’activités qui permettent de faire le vide et prendre du recul sur les contrariétés.
Des méthodes simples pour se relaxer et lâcher prise
La solution la plus simple pour lutter contre le stress est de bien respirer je le répète.
La respiration abdominale est la base de toute relaxation.
Il vous suffit d’inspirer profondément en gonflant le ventre, la cage thoracique et les épaules remontent en même temps, puis d’expirer lentement par la bouche.
Imaginez que vous inspiriez de l’énergie et du calme et que vous expulsiez les tensions et les pensées négatives.
Apprenez à respirer consciemment.
Se soigner avec douceur
D’ailleurs, gérer son stress passe aussi par une vie saine. L’alimentation doit être équilibrée, on ne vous le dira jamais assez, il faut consommer au moins 4 fruits et légumes, boire 1,5 L d’eau par jour et ne pas sauter de repas pour couvrir toutes les dépenses énergétiques (une femme doit consommer en moyenne de 2 000 à 2 500 calories / jour et pour un homme de 2 500 à 3 000 calories / jour).
Pendant les périodes de stress intense, les réserves de magnésium s’épuisent et nous devenons nerveux et irritables. Il représente cependant un élément essentiel au bon fonctionnement du cerveau et du système nerveux et l’apport journalier recommandé est de 500 mg.
On en trouve dans le pain complet, les céréales, le chocolat noir, les bananes, les fruits secs (amandes, noisettes..), les légumes secs...
Il est conseillé d’éviter les excitants comme le tabac, l’alcool, le thé, le café et les excès de sucres qui, même s’ils ont un côté réconfortant et stimulant, ne font que vous transformer en boule de nerfs infernale.
Un peu de sport pour se dépenser
Pour évacuer le stress, rien de mieux que de faire du sport. Cela permet de canaliser votre énergie, de penser à autre chose et de vous centrer sur votre corps.
Après une séance de sport, vous vous sentirez détendu grâce aux endorphines, hormones du plaisir libérées pendant l’effort.
Vous pouvez pratiquer n’importe quel sport, sachant que les disciplines les plus courantes et les plus simples à pratiquer sont la marche et la course à pied, la natation, le vélo, le fitness ...
Une balade en pleine nature ou espaces verts, vous sera tout aussi bénéfique pour profiter de l’essence des arbres, du calme de la nature, du chant des oiseaux pour un retour aux sources où puiser de l’énergie en harmonie avec les éléments de façon quelque peu bucolique.
Le soleil est aussi l’allié de votre moral si on en n’abuse pas car ses rayons aident notamment à la synthèse de la mélanine, une hormone de la bonne humeur.
Rien de tel qu’une bonne nuit dans les bras de Morphée...
Le dernier élément déterminant la résistance au stress est la qualité du sommeil.
En effet pour être d’attaque, il faut se sentir reposé et pour cela vous devez respecter votre horloge interne.
Prendre de bonnes habitudes pour réduire le stress
Au quotidien, et à l’aide de quelques habitudes simples, on peut améliorer sa qualité de vie, et donc diminuer son stress.
Par exemple, le matin, ne vous levez pas à la dernière minute. Prenez le temps de vous réveiller en douceur, de prendre le petit déjeuner en compagnie de votre chéri ou de vos enfants, d’écouter la radio ou lire le journal…
De même, apprenez à décompresser après le travail. Accordez-vous une pause bien méritée, vous n’en serez que plus efficace par la suite.
Couchez-vous tôt, mangez à table plutôt que devant la télé… et faites du sport !
Toutes ces bonnes habitudes vont contribuer à évacuer la tension, et à développer un bien-être global qui laisse moins de place pour que le stress se développe.
Il est important de faire des coupures dans sa journée : vous verrez, vous vous sentirez aussitôt moins débordée si vous prenez des pauses et apprenez à cloisonner vos différentes activités et vos différents rôles.
Perdre ses mauvaises habitudes pour déstresser
On a toutes des manies qui nuisent à notre bien-être, et auxquelles on s’accroche tout de même.
Le temps est venu de mettre le holà !
Parmi d’autres mauvaises habitudes, regarder la télé trop longtemps et trop tard avant de se coucher : il a été prouvé que les écrans perturbent l’endormissement.
En réorganisant votre quotidien et en éliminant certaines causes de votre stress, vous affronterez les moments difficiles avec plus de sérénité.
Et même s’il peut être ardu de se débarrasser de ses mauvaises habitudes, vous y gagnerez sur le long terme.
CALMEZ-VOUS SUR LE SUCRE !
C’est un des premiers réflexes en cas d’attaque du stress, on se rue sur le sucré, grave erreur !
Même si on a la sensation qu’il nous aide à l’affronter, c’est tout l’inverse, le sucre va nous faire sentir plus stressés en introduisant dans notre corps des radicaux libres qui ne pourront être repoussé qu’avec une bonne dose d’antioxydants.
Vous n’en serez que plus fatigué et moins en mesure de gérer votre stress.
En évitant le sucre, vous allez non seulement réduire votre tension artérielle, mais aussi votre tour de taille, deux fois moins de raisons de stresser…
ESSAYEZ LA VIBRATION DU CORPS
Il existe des plateformes oscillantes et vibratoires que vous pouvez acheter, ou utiliser dans certaines salles de gym/club de remise en forme.
Tout ce que vous aurez à faire, c’est de vous placer debout sur la machine et de laisser ses oscillations remplir votre corps.
Le travail se fait à un niveau cellulaire.
Les utilisateurs disent se sentir beaucoup mieux après une séance, et ces plateformes sont également censées aider à tonifier les muscles et stimuler les efforts de perte de poids.
PERDEZ DU POIDS
Perdre du poids comme je le disais a des dizaines, sinon des centaines d’avantages secondaires à votre santé et votre corps (à condition d’avoir un surpoids).
Stress et prise de poids sont d’ailleurs fortement liés. Luttez contre l’un et vous lutterez aussi contre l’autre.
En perdant du poids, vous abaisserez votre tension artérielle et serez moins essoufflé lors d’activités quotidiennes.
Si votre poids est un de vos déclencheurs de stress, vous devez vraiment considérer de changer votre diète pour parvenir à afficher un poids optimal.
Mais il n’est pas question de brusquer les choses et d’opérer des changements d’alimentation radicaux, surtout pas de régime draconien, de privation, adoptez une approche lente et contrôlée qui évitera tout effet yoyo.
MASSEZ-VOUS, OU MIEUX, FAITES VOUS MASSER !
Ce n’est peut être pas la première chose que vous puissiez être capable de faire en cas de situation stressante, mais il peut être très bon d’ajouter un massage à votre routine hebdomadaire de traitement contre le stress et de relaxation.
Cela aide grandement à garder des muscles détendus et si vous allez voir un bon masseur, il sera en mesure de travailler sur des problèmes spécifiques que vous rencontrez avec certaines parties de votre corps, pouvant soulager la pression et libérer des nœuds.
Si des séances de massage régulières ne rentrent pas dans votre budget, rien ne vous empêche d’investir dans un fauteuil de massage chauffant, type shiatsu.
ADOPTEZ LA MUSCULATION
Si vous êtes en proie à un sentiment de stress continuellement, vous devriez peut-être envisager de développer vos muscles.
Les études montrent que ceux qui ont plus de masse musculaire maigre ont des taux de pression artérielle plus bas et ont tendance à se sentir plus calmes en raison d’une fréquence cardiaque au repos inférieur.
Ils récupèrent aussi plus rapidement d’un événement qui pousse leur fréquence cardiaque à augmenter.
Pas besoin de devenir The Rock, simplement d’augmenter un peu votre masse musculaire actuelle.
SOIGNEZ VOTRE POSTURE
Il est difficile de penser que quelque chose d’aussi simple que la posture que vous adoptez puisse vous causer plus ou moins de stress.
C’est pourtant dans la même lignée que de se dire que sourire conduit a éprouver de meilleurs sentiments.
Lorsque votre posture est parfaite, votre corps est plus « en phase » avec son état naturel, et tout va mieux fonctionner, y compris être capable de gérer le stress mieux.
LE POUVOIR DE LA MUSIQUE
La musique possède un pouvoir quasi magique, qui fonctionne à chaque fois !
Le tout est simplement de se constituer une playlist qui vous aide à vous détendre et que vous ayez toujours sous la main en cas de besoin.
Choisissez des chansons qui vous aident à vous relaxer, non pas en fonction des genres musicaux, mais plutôt des sensations qu’elles vous transmettent et de la vibration qu’elles créent.
Énergisante pour quand vous allez au sport, « concentration » pour le travail et relaxation pour lutter contre le stress ou piquer une petite sieste ou simplement vous détendre.
PRENEZ UN BAIN
Que vous le preniez avec des bulles ou non, peu importe, ce qui compte c’est de tremper dans son bain !
Le bain fait des merveilles pour diminuer le niveau de stress, surtout si on le combine avec d’autres conseils de cette liste, comme la musique.
Vous pouvez même éteindre les lumières et utiliser des bougies pour vous éclairer, c’est une source de lumière naturelle et probablement meilleure que votre lumière de salle de bains.
APPLIQUEZ LA LOI DE PARETO
Vous connaissez la loi de Pareto, aussi appelée loi du 20/80 ? Et bien cette dernière est applicable absolument dans tous les domaines, et le stress ne déroge pas à la règle.
À bien y regarder, environ 80% de votre stress provient probablement de 20% de facteurs nuisibles de votre vie quotidienne, peut être même moins que ça.
Vous pouvez ainsi constater que presque tout votre stress provient d’une source spécifique.
Localiser les sources qui causent votre stress est très important pour que vous puissiez apporter les changements nécessaires.
Est-ce que ce sont les transports, un dossier urgent sur lequel vous travailler, un patron abominable, un mari qui ne range pas assez etc …
A contrario, 80% des résultats que vous obtiendrez en matière de lutte contre le stress proviendront de 20% des actions mises en place.
Concentrez-vous principalement sur ces 20% afin de ne pas perdre inutilement votre énergie.
Le saviez-vous : la cause principale de stress chez l’homme est…l’argent, ou plutôt, le manque d’argent et les problèmes qui y sont directement liés.
Un travail épanouissant
est très important du fait que nous passons beaucoup de temps au travail.
Ce travail devra répondre à nos valeurs profondes sous peine de se déssècher comme une plante lorsque l'eau manque !
Par exemple, un ouvrier qui fabrique des bombes volantes qui ne correspondent pas à ses valeurs de paix, même avec un salaire motivant, ne pourra jamais trouver la sérénité pour la simple raison qu'il acceptera le viol de ses valeurs qui le structurent émotionnellement.
Connaître ses valeurs, être capable de s'affirmer, revoir l'organisation de son travail, aménager son espace de travail, éliminer les parasites sensoriels, savoir déléguer, sont des passages obligés de la gestion du stress au travail.
L'apprentissage de la délégation
permet de faire confiance à l'autre et surtout de ne pas se retrouvé surchargé par les tâches, avec la frustration.
Cela est vrai aussi à la maison.
Souvent on retrouve la femme qui prend sur elle de ranger la chambre des enfants, ce qui est plus rapide que de leur apprendre l'autonomie.
Ou de prendre en charge le mari et ses chaussettes qui traînent pour finir par le traiter comme un enfant de plus pour le lui reprocher plus tard.
La difficulté de déléguer est souvent la conséquence de la façon dont on voit les autres.
Une bonne communication
Permettra d'optimiser la qualité de nos relations avec les autres.
Attention, savoir communiquer n'est pas forcément savoir éviter les conflits.
Parfois, une communication juste va mettre à jour un conflit larvé.
Un méthode que j'utilise l’élargissement de son champ de conscience et de compréhension d’analyse.
Partir toujours plutôt du faite qu’on ne sait rien ouvre à cette technique.
Si je vous prête ma voiture, vous saurez la conduire même si vous avez appris avec une autre marque... Et c'est tant mieux !
Par contre, si vous voyez un dessin qui montre un corbillard garé devant une maison, vous allez faire une projection qu'il y a un mort dans la maison.
Mais en fait, c'est Marcel, le conducteur, qui est venu faire une petite visite à son pote, Gustave pour discuter le « bout de gras » !
Cela n'est pas bien grave de se tromper mais la plupart de nos communications sont « bourrées » de projections !
Et cela devient dès lors plus difficile d'appréhender une manipulation consciente ou inconsciente de son conjoint, son enfant, son patron, d'un personnage politique ou d'une publicité.
Tout ce qui peut élargir son champ de conscience va nous permettre d'éviter une manipulation voulue ou non voulue.
J'ai à ce propos remarqué plusieurs fois chez des « spécialistes du stress », des projections qui ont tronqué la qualité de leur accompagnement dans certaines situations, ce qui est plutôt dommage.
Le travail sur la flexibilité
permet dans un premier temps de prendre conscience de ses conditionnements, ce qui développe certaines pensées.
Un rat génétiquement intelligent, ne va pas développer son intelligence dans un milieu médiocre.
Par contre, un autre rat qui n'a pas ce gène de l'intelligence, mais qui se trouve dans un milieu stimulant, sera plus intelligent que le premier.
Il sera plus flexible et saura s'adapter plus vite dans le cadre d'une situation nouvelle.
Il sera moins stressé.
D'où l'intérêt de changer régulièrement la place des meubles dans la chambre de son enfant.
Pour connaître votre niveau de « rigidité », vous pouvez mettre votre montre à l'autre poignet, changer votre place à table, devant la télévision, dans le lit, (en accord avec ceux qui sont impliqués dans ce changement)...
Si ces changements vous affectent fortement, il est peut-être temps de travailler la flexibilité !
L'orgueil
L'orgueil nous empêche d'écouter et donc apprendre. « Pourquoi les personnes qui refusent toute aide sont ceux qui en ont le plus besoin ? ».
Certainement que l'orgueil qui sert surtout de protection, empêche l'apprentissage et donc nous éloigne de la sagesse.
Il est à noter que l'orgueil est plus présent chez les hommes que chez les femmes.
Je n'ai pas dit que les femmes étaient humbles !
Et il s'agit de généralités !
Cela est remarquable le plus souvent chez les personnes ayant une hypersensibilité.
L'orgueil est un moyen de protection efficace dans un premier temps contre le stress.
Il va se traduire aussi par un refus de commettre la moindre erreur.
Or, l'erreur est humaine ;
Voilà une situation de stress !!!
La fameuse expérience de Stanley Milgram montre que 63 % de la population est prêt à envoyer des décharges de 450 Volts à une personne inconnue, qui ne leur a rien fait !
Simplement parce qu'une autorité reconnue leur a procuré une obéissance confortable.
La raison qui les empêche de s'arrêter sur le chemin des 450 Volts est qu'ils s'interdisent de reconnaître leur tort de départ et la boucle est bouclée.
L'éducation, l'expérience personnelle, la culpabilité, sont les principales raisons de l'orgueil.
Enfin, il n'est pas simple de faire la différence entre « déni inconscient » et « orgueil ». le déni est produit par une culpabilité telle qu'il est impossible pour la personne de prendre du recul.
Par exemple, une femme alcoolique vient de boire quelques gorgées d'un alcool fort et replace rapidement la bouteille sous la pile de linge.
Le mari qui a vu toute la scène, arrive et accuse sa femme « je t'ai vu, tu as caché la bouteille ici » et il sort la bouteille de sous la pile de linge.
La femme va nier sincèrement que cette bouteille ne lui appartient pas et se demande même ce qu'elle fait ici...
Elle ne peut accepter la réalité trop lourde pour elle, c’est le déni.
Bouleversement émotionnel
Les représentations cognitives et amnésiques des traumatismes passés sont susceptibles d'être modifiées par certain exercice d'écriture, et peut-être dans le sens d'une meilleure gestion des événements stressants.
Le pardon
Pour les Chinois, présenter des excuses revient à perdre la face et l'on ne perd pas la face à la légère.
En fait, « Les excuses contribuent à améliorer les rapports entre individus.
Le stress et les problèmes relationnels s'en trouvent réduits d'autant ».
Tout ce qui peut améliorer la qualité des relations entre individus, a un effet direct bienfaisant sur le mauvais stress.
Ainsi, une vie de couple réussie ne dépend pas du nombre de « frictions » mais de la rapidité à résoudre le problèmes.
Un problème non résolu entre deux individus est un facteur de stress et de séparation entre eux.
Autant une personne humble, reconnaissant ses fautes peut paraître sympathique, autant celui ou celle qui a toujours raison, ne fait jamais d'erreur, est antipathique.
Et aussi, le pardon que l'on « accorde » à l'autre a un effet libérateur n'est ce pas ???
Le lien social
Il est extrêmement important comme modérateur de stress. Une personne qui est entourée par ceux qu'elle aime et qui l'aiment, sa famille, ses amis pourra faire face plus facilement à un stress important.
C'est là toute la difficulté des « tests de stress » car il est difficile de cerner la qualité du soutien social.
Un bon moyen est de s'imaginer demander de l'argent à une personne pour juger de la qualité du lien.
Une bonne relation de couple
Elle fait partie du soutien social mais mérite une place à part dans la gestion du stress.
En effet, une relation de couple épanouissante permet de gérer au mieux les conflits inhérents à la vie de ce dernier et d’apporter le soutien nécessaire dans les moments difficiles.
Pour cela il est important de comprendre que l'homme ne vit pas la même réalité que la femme !
Le livre « best seller » de John Gray « les hommes viennent de mars et les femmes de vénus » l'explique parfaitement !
Une femme aura plutôt tendance à réagir en fonction de ses émotions alors que l'homme, lui va analyser et « mentaliser » la situation... ce qui peut générer des conflits difficiles à résoudre ! (attention, il s'agit de généralités ! )
Selon le « docteur Love » (John Gottman), la première raison de consultation, concerne la sexualité ou son absence.
On peut être tout connaitre de la gestion du stress, mais si notre vie sexuelle ne nous satisfait pas, cela se reportera sur notre comportement.
La frustration génère un stress.
Selon Gottman, il existe 7 piliers du bonheur à deux :
S'intéresser à la vie de son partenaire, ses amis, ce qui le préoccupe, son univers...
Respecter, admirer, prendre soin de l'autre, être capable de dire ses 10 premières qualités rapidement, est une bonne indication pour savoir si on s'intéresse aux défauts de l'autre ou ses qualités.
Etre capable de se tourner l'un vers l'autre, de se connecter. Parler de ses émotions, même futiles, répondre aux tentatives de rapprochement en cas de conflit.
Accepter de se laisser influencer par son partenaire parce que un compliment est une influence déjà.
Reconnaître que l'un peut être plus doué pour l'informatique, par exemple, et l'autre pour décider du nouveau canapé. Choisissez vos batailles, prenez du plaisir à céder du terrain et vous serez plus heureux !
Se rendre disponible à l'autre et résoudre les problèmes mineurs rapidement.
Ne pas penser qu'une situation est sans issue, exprimez votre envie de faire votre possible pour comprendre son besoin.
Avoir des aspirations communes.
Saint Exupéry disait « S'aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, mais regarder dans la même direction... »
Enfin une synthèse s’aérer et bouger
Le contact avec l’air extérieur et encore mieux, la nature sont des moyens très efficace de gérer le stress.
Si votre travail vous ronge ou le concours qui arrive dans 2 jours vous empêche de réviser, allez dehors.
Marchez, courez, faites du vélo, peu importe du moment que vous êtes actif.
Cette technique fonctionne car vous allez moins penser à votre stress en retournant votre attention.
Vous allez simplement pouvoir vous concentrer sur ce qui se passe devant vous.
Vous vivrez le moment présent et rien d’autres.
Même si cela est moins efficace, vous pouvez aussi vous rendre à la salle de gym.
Faites du vélo, du tapis roulant, des exercices de renforcement musculaire.
Cela permet de sécréter des substances qui apaisent le stress.
Votre niveau de Cortisol hormone du stress va diminuer considérablement.
15 minutes par jour pour penser à soi
L’objectif est de faire quelque chose que vous aimez, seulement pour vous.
C’est votre moment à vous, rien que pour vous.
C’est le moment où vous allez vous relaxer et faire quelque chose que vous aimez.
Vous pouvez prendre un bain, écouter votre musique préférée, lire un livre, sortir faire une marche, s’allonger dons son jardin, faire du jardin, faire du yoga, peindre, cuisiner…
Bref, peu importe, le but est de faire quelque chose que vous aimez et qui vous relaxe.
La seule condition, ne pas vous servir d’un écran d’ordinateur, de téléphone ou de télévision.
Ce sont des sources de stress responsables de cette épidémie.
Se déconnecter un jour par semaine
Quand je parle d’écran, je parle de votre smartphone, d’internet sur votre ordinateur, de votre télévision.
Encore une fois, ce sont les sources de stress les plus importantes de nos jours.
Vous finissez par ne plus décrocher et vous devenez accro.
Mettez votre téléphone en mode avion, déconnectez Internet à votre domicile, n’allumez pas votre télévision.
A la place, passez du temps avec votre famille, vos enfants, vos parents, vos amis.
Allez vous promener, allez au marché, lisez un livre, faites du bricolage, coloriez ou jouez de la musique.
Ne touchez pas à un écran.
Vous allez voir à quel point vous allez vous sentir moins stresser et plus relaxe après cela.
1 journée vous semble trop longue, même le dimanche ?
Alors faites simplement une demi-journée pour commencer.
Travailler sur soi avoir une relation avec soi même
C’est apprendre à se connaître, à s’aimer et à prendre confiance est une étape importante dans votre lutte pour gérer son stress.
Pratiquez la positive attitude, établir un journal de gratitude, définir ses objectifs et envies avec un tableau de visualisation, ne plus avoir peur de l’échec, oser dire non… Toutes ces actions sont efficaces pour travailler votre développement personnellement.
La conscience sans pensée
Penser à rien sollicite un “réseau par défaut”
S’il s’agit pour vous aussi de savoir si, en état d’éveil, certaines images mentales peuvent ne pas atteindre le champ de la conscience, il est indéniable que c’est le cas.
Il suffit que notre cerveau ne soit pas accaparé par un objectif précis pour que des pensées spontanées s’y produisent, mais sans nécessairement toutes accéder à la conscience.
Sans compter que l’accès à la conscience peut être modulé.
Il semblerait donc que même quand on a l’impression de ne “penser à rien”, on pense quand même.
Sauf que nos rêveries ne sollicitent pas la même zone du cerveau que la réflexion consciente.
On le sait depuis l’avancée des techniques de neuro-imagerie des années 1990, grâce notamment à l’IRM fonctionnelle qui permet de visualiser les aires cérébrales qui s’activent ou se désactivent dans une situation mentale donnée “Quand on ne fait rien de précis, c’est un ensemble de zones réparties dans les lobes frontal et pariétal qui est le plus actif, on l’appelle le réseau par défaut.”
Il est difficile d’imaginer que le mouvement de la pensée puisse s’arrêter et ainsi laisser place au silence d’un esprit sans activité du mental.
Pourtant dans ce petit moment sans pensée, dans cette attention cette conscience, il s’agit bien de nous.
Le mouvement de la pensée reprend rapidement le pouvoir et commence à dire « je » dans tout les sens.
L’ego qui est une identité construite par la pensée a donc tout intérêt à faire penser que cette conscience n’est rien qu’elle n’a que peu d’intérêt.
Que seul lui, le « je », est le créateur de toute beauté, de la vérité, de l’amour.
L‘ego vénère la pensée, adore ses propres créations, ses dieux, ses avions et ses « hautes technologies » alors qu’à ses pied une fourmi reste d’une plus grande beauté, complexité et intelligence que la pensée seule ne pourrait jamais concevoir ni comprendre dans sa totalité.
Pourtant l’ego n’est qu’un enfant perdu qui a peur, effrayé de tant de choses, d’être seul, de ne pas être reconnu, de disparaître, de mourir.
Sa seule solution pour occuper l’espace qui permettrait de découvrir qu’il n’est qu’une illusion qui cache autre chose est d’utiliser la pensée à profusion, maintenir une activité intense, utiliser des mots, la mémoire, le passé.
Le besoin de devenir et d’obtenir demain, les besoins de sécurités psychologiques ou émotionnelles, les idées auxquelles s’attacher, son ses méthodes pour bloquer l’accès à une compréhension véritable de l’être.
Une autre méthode est de tout projeter sur le corps, la culpabilité, les espoirs, les peurs, les désirs.
Le corps qui simple véhicule de communication, en demande d’amour et de soin, ne reçoit que de la violence et du chagrin.
Si l’activité de la pensée ne réponds plus à ses peurs, ne lui fournit plus ses satisfactions, ses sécurités, l’ego choisi l’autodestruction plutôt que la libération de lui-même, drogues et évasions fournissent les derniers remparts pour dormir avant que la confusion devienne si grande qu’il ne reste que l’explosion dépressive et l’agressivité.
Prendre l’enfant perdu dans ses bras et l’aimer sans le juger, sans condition, lui éclaircir les zones d’ombres mal comprises, permet d’avancer vers une plus grande compréhension de notre véritable identité.
La vérité de la conscience, il ne sert à rien d’essayer de l’imaginer ou d’écouter un autre en parler avec autorité, on peut seulement l’expérimenter soi-même.
Apprendre à être son propre maître
Prendre ses responsabilités n’est pas quelque chose de facile, surtout lorsque l’on vit avec les stigmates de son enfance.
Pour beaucoup d’entre nous, il est plus facile de se dire ”J’ai été élevé de telle manière, c’est ce qui explique que je me comporte comme cela”.
Devenir adulte implique d’être responsable de soi-même.
Vous ne pouvez pas en vouloir à vos professeurs de ne pas vous avoir enseigné quelque chose que vous devriez savoir aujourd’hui, car si vous avez besoin de certaines connaissances, vous pouvez les apprendre par vous-même.
Vous ne pouvez pas non plus faire porter la faute sur vos amis d’enfance, qui vous ont donné de mauvaises habitudes ou qui vous ont empêché d’aller de l’avant, car si vous avez des comportements qui affectent votre vie d’adulte, vous êtes le seul à pouvoir les changer.
Le passé ne doit pas vous freiner
Il est évident qu’il influe sur votre vie actuelle.
Mais, si vous êtes capable de détecter la raison d’un problème et de lui faire face, vous verrez que tout commencera à aller pour le mieux.
Arrêtez de regarder dans le passé pour expliquer ce qui vous arrive aujourd’hui.
Si vous n’arrivez pas à surmonter votre histoire, consultez un professionnel et vous verrez qu’aucun traumatisme n’est insurmontable.
Certains sont très difficiles à résoudre mais, avec du temps, nous pouvons tous dépasser les problèmes qui nous ont affecté dans le passé.
Souvent, ce qui vous revient du passé vous cause beaucoup de souffrance, vous paralyse, et ne vous permet pas de vivre pleinement l’instant présent.
Si durant votre enfance, on vous répétait sans cesse que vous étiez “gros/grosse”, “stupide” ou “inutile ” (ou tout autre adjectif dépréciatif), il est certain que ces mots sont gravés dans votre esprit, et que vous pensez que vous êtes toujours ainsi, alors même que vous êtes devenu adulte.
Si vous y consacrez toutes vos forces, vous pouvez changer cet état d’esprit négatif qui vous retient dans le passé.
En devenant adulte cela implique de mûrir, de grandir et de changer.
Votre vie d’adulte ne doit pas être négative simplement parce que votre enfance l’a été.
Changer les étiquettes que nous portons peut demander beaucoup de travail mais, sur le long terme, les pensées positives entraînent un changement proactif, qui fait naître de l’amour propre et de l’acceptation.
Même si beaucoup de gens considèrent que leur enfance est le meilleur moment de leur existence, d’autres en gardent de très mauvais souvenirs, et ce sont des choses qui ne peuvent être changées.
Cependant, en mûrissant, nous avons tous les outils pour construire et reconstruire notre vie, car nous ne dépendons plus de personne pour créer notre propre présent, mais nous avons tous le pouvoir de le modifier.
Laissez les mauvaises expériences dans votre passé, et devenez maître de votre destin.
Les excuses et les incompétences
De nombreuses personnes se cachent derrière leur passé, pas seulement parce qu’il a été terrible, mais parce qu’elles ne trouvent pas le courage nécessaire pour changer, et assumer leurs responsabilités en tant qu’adultes.
Les peurs ne sont pas insurmontables, même s’il est plus facile de se dire qu’on n’y peut rien, qu’on a été élevé comme cela, plutôt que de faire face à son ignorance ou à son incompétence.
Gardez à l’esprit que personne ne peut vous faire sortir de votre zone de confort, vous en êtes l’unique capable, notamment à travers vos actions.
La peur peut être une excellente source de motivation, et vous êtes la seule personne à pouvoir décider comment l’utiliser.
Faire ce qu’il vous rend heureuse
Vous avez toujours voulu peindre, écrire un livre, faire un sport en particulier ? Go! Go! Go!
Qu’est-ce qui vous retiens ?
Trop fatiguée, horaire surchargé…les excuses sont toujours bonnes.
La vie est courte, on le sait, tout le monde le dit.
Des conditions parfaites pour faire ce qui vous fait du bien, il n’y en a pas.
Vous avez un projet en tête ?
Allez vous acheté ce qu’il vous faut, lisez des articles ou des livres sur le sujet, parlez-en autour de vous et la vie s’occupera de faire le reste !
Il faut savoir créer ses opportunités!
Lâcher prise
Le terme « lâchez prise », vous l’avez certainement entendu plusieurs fois, trop de fois même !
Mais il est important…il faut se le répéter constamment.
Je ne suis pas une superman et vous non plus.
Personne ne peut TOUT réussir dans la vie TOUT le temps. Les épreuves sont là pour apprendre et grandir.
Il y a des choses qu’on ne peut pas contrôler et il faut apprendre à vivre avec, à faire face à des situations ou à des moments plus difficiles et ces moments ne sont pas éternels…c’est la bonne nouvelle !
Il pleut ?
Regardez l’arc-en-ciel !
Il fait noir ?
Regardez les étoiles !
Il faut apprendre à «surfer» avec la vague.
Être soi-même
Se chercher peut prendre quelques années pour certaines personnes, mais de façon générale tout se passe dans l’adolescence.
Entourez-vous de personnes qui vous ressemblent avec qui vous aimez passer du temps.
Si vous n’etes pas bien dans une relation, que ce soit amicale ou amoureuse, rien ne sert de se mentir à vous-même.
Vous devez vous sentir libre d’aimer qui vous voulez, de dire ce que vous voulez, de faire ce que vous voulez, de porter ce que vous voulez, de manger ce que vous voulez peu importe où vous êtes ou avec qui vous le faite.
Freedom power !
Apprendre à repousser ses limites
Avoir peur de la peur peut nous empêcher de faire bien des choses.
Se lancer dans le vide peut parfois provoquer des miracles. Rester dans sa zone de confort, c’est bien parce qu’on sait où on s’en va et on est en contrôle.
Moi qui suis extrêmement cartésien dans la vie, j’aime savoir ce qui va arriver et que je sais que je peux contrôler ce que je fais.
Mais la vie n’est pas synonyme de contrôle !
Dépasser ses limites comme postuler pour un nouvel emploi, déménager dans une autre ville, courir un marathon ou se lancer en entreprise ça crée la peur oui, mais ça peut aussi être le plus cadeau que vous vous faites à vous-mêmes sans le savoir !
Croire en ce qui s’en vient
La vie est remplie de surprises qui ne sont pas inscrites à votre agenda.
Apprenez à aimer découvrir et laissez vous guider avec vos envies.
Vous ne pouvez pas toujours avoir une vie planifiée au quart de tours.
Oui au travail c’est important d’être organisée, mais voyez la nuance au quotidien.
Faites vous des tableaux de visualisation, c’est ce que je fais à chaque fin d’année et j’adore ça !
Dites vous que le plus beau est à venir !
Faites votre tâche même quand vous n’êtes pas d’humeur.
La procrastination est un problème tellement commun que je pense qu’il est universel.
La principale raison pour laquelle nous procrastinons, sans l’admettre personnellement, est « Je ne suis pas d’humeur à faire ceci. »
La tâche est probablement difficile ou déroutante et donc elle est inconfortable.
Vous préfèreriez faire des choses plus simples, pour lesquelles vous êtes bon.
Vous préférez ranger la maison ou vous faire les ongles ou vérifier vos mails au lieu de commencer à écrire le prochain chapitre de votre livre.
Mais si nous attendons d’être d’humeur, nous ne maîtriserons jamais la vie.
À la place, pratiquez ceci, engagez-vous à faire une tâche, et commencez à la faire, quoi qu’il arrive.
Ne vous laissez pas vérifier les mails, ou les réseaux sociaux, ou aller nettoyer je ne sais quoi, ou faire une corvée ou une course rapide.
Asseyez-vous, et faites-la.
Vous pouvez quand même la faire, même si c’est inconfortable.
Restez assis en ressentant la faim.
Nous avons tendance à paniquer quand nous avons faim et à nous précipiter sur la cochonnerie la plus proche.
Ce que j’ai appris est que vous pouvez avoir faim et que ce n’est pas la fin du monde.
Nous n’avons pas toujours besoin d’être repu et satisfait de nourriture incroyablement délicieuse.
À la place, pratiquez ceci, ne mangez pas si vous n’avez pas faim car vous avez soif.
Quand vous avez faim, restez assis un moment et tournez-vous vers la faim.
Voyez la sensation que cela fait.
Ce n’est pas si terrible.
Cette pratique n’a pas pour but de vous affamer mais de vous montrer qu’un peu d’inconfort ne ruinera pas votre vie et que vous pouvez faire des choix conscients quant aux moments et à la façon dont vous mangez.
Ne parlez à personne de quelque chose d’inconfortable si possible.
Évitez les conversations difficiles, parce qu’elles ne sont pas marrantes et vous connectes a une mauvaise énergie.
Elles sont effrayantes et cela amplifie toutes sortes de problèmes, dont le ressentiment, une mauvaise relation, une situation qui empire, et plus encore.
À la place, pratiquez ceci, quand vous avez un problème avec quelqu’un, au lieu de rejouer le problème dans votre tête, parlez gentiment à la personne, avec compassion.
Essayez de voir la situation de son point de vue, pas seulement du vôtre.
Amenez cela avec un simple « Hé, est-ce qu’on peut parler de ___ ? »
Et dites-lui comment vous vous sentez, sans l’accuser ou la mettre sur la défensive.
Demandez-lui comment elle se sent à ce propos.
Abordez-la avec comme attitude de trouver une solution qui fonctionne pour vous deux, qui préserve votre relation.
Ce que cela vous apprend est que dépasser cette situation inconfortable résoudra beaucoup de problèmes difficiles.
Tenez votre habitude.
Une des choses les plus difficiles auxquelles les gens font face en changeant d’habitude est de tenir cette habitude jusqu’à que leur enthousiasme initial se soit dégonfler.
Il est facile de tenir une habitude pendant une semaine, mais qu’est-ce qui vous pousse pendant la deuxième et la troisième semaine ?
Cela devient bien plus facile après trois semaines, mais beaucoup de gens abandonnent l’habitude trop tôt.
À la place, faites ceci, engagez-vous sur une petite habitude pendant deux mois.
Faites-le cinq minutes par jour, et faites-le à la même heure chaque jour, en ayant autant d’aide-mémoire que possible pour ne pas oublier.
Notez l’habitude sur un calendrier ou un journal, pour voir vos progrès.
Allez-y chaque jour et faites-le.
Vous commencerez à maîtriser la formation de nouvelles habitudes, ce qui ouvrira à toutes sortes de changements.
Pour conclure, on dit maître de ses choix, maître de sa vie.
Les 3 «cerveaux», centres d’énergie du corps ayant de l’influence sur l’esprit.
La tête
Bien sûr le plus grand nombre de neurones se trouve à l’intérieur de notre boite crânienne, 1000 milliards de neurones… Il a des rôles dans toutes les fonctions de notre organisme.
C’est le siège des fonctions cognitives, de nos pensées, de notre mental, de notre habilité à raisonner, à construire, et c’est la source de la créativité.
Par ses influx nerveux et la sécrétion d’hormones agissant à distance et de neurotransmetteurs pour les régulations locales, c’est le centre de communication de tout notre système.
Les différentes zones sont spécialisées dans des rôles bien définis mais certaines voies de recherches actuelles mettent l’accent sur la capacité toute particulière de ces zones à coopérer ensemble, permettant l’émergence d’autres modes de fonctionnement que ceux spécifiques à chaque zone.
Les découvertes à ce niveau là ne font que commencer.
Dans le Qi Gong, on dit souvent que «l’énergie se dirige là où se dirige l’attention.»
Les études sur la cohérence cardiaque ont montré que porter notre attention sur une zone de notre corps activait l’activité nerveuse de cette zone.
La pleine conscience nous permet d’accéder à de multiples formes d’intelligence.
Nous pouvons activer, intégrer et mobiliser en harmonie cet état de flow afin de pouvoir exprimer tout notre potentiel.
Plus nous multiplions les points de vue et les sources, plus notre perception se précise et plus nous avons de choix, de liberté ou de la créativité.
Son but est de comprendre et contrôler.
Penser avec la logique et la raison.
Apprendre avec la compréhension intellectuelle.
Nombre de nos problèmes viennent de la mauvaise communication entre nos 3 cerveaux ( le neocortex = individualité survie fondamentaux, le limbique = sociabilité émotions choix et le reptilien = integration, logique, compréhension ).
Cependant, nous pouvons apprendre à les réconcilier et à enrichir notre état de conscience.
Le coeur
« Le cœur est un cerveau » n’est pas une métaphore…
Il a été découvert que le cœur contient un système nerveux indépendant et bien développé comprenant plus de 40 000 neurones et un réseau complexe et dense de neurotransmetteurs, de protéines avec des cellules de soutien.
Le cœur est intelligent…
Grâce à des circuits élaborés, il semble que le cœur puisse prendre des décisions et agir indépendamment du cerveau.
Il peut apprendre, se souvenir et même percevoir.
Du cœur au cerveau, il y a une communication neurologique par la transmission d'influx nerveux, dans les neurotransmetteurs.
Le cœur envoie plus d'informations au cerveau qu'il n'en reçoit, il est le seul organe du corps à posséder cette propriété et il peut inhiber ou activer certaines parties du cerveau en fonction des circonstances.
Cela signifie que le cœur peut influencer notre perception de la réalité, nos réactions et par voie de conséquences notre façon de penser.
De tous temps, le domaine des sentiments à été dévolu à cet organe majeur.
Les poètes le considèrent comme le siège de notre esprit, toutes les pensées et les sentiments, le côté immatériel de notre être.
Bien loin de n’être qu’une pompe inerte ou une « chaudière » comme le voyait Descartes, notre coeur héberge un groupe de fibres nerveuses autonomes dont certaines sont même absolument indépendantes du reste de notre organisme.
Le coeur détermine lui-même beaucoup de ses propres paramètres.
Il va même plus loin, depuis peu, son rôle hormonal a pu être mis en évidence.
Il a la capacité de sécréter l’ocytocine.
Cette dernière est l’hormone de l’amour, de la compassion et de l’altruisme.
Par la cohérence cardiaque, nous pouvons mettre en résonance nos rythmes cardiaque, respiratoire et neurologique.
Cette « respiration du coeur » régule nos émotions et nous donne la possibilité de développer un état particulier d’engagement et de compassion, plein de sens en lien avec nos valeurs.
Elle agit principalement par la régulation du tonus vagal, l’activation du nerf vague.
Un des nerfs crâniens aussi appelé pneumo-gastrique qui est en quelque sorte le lien permanent entre notre cerveau et notre système digestif.
L’un de ses rôles majeurs est la régulation du stress.
« Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition, car ils savent ce que vous voulez devenir, tout le reste est secondaire".
"L'essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu'avec le coeur".
Notre coeur, lui-même protégé à l'intérieur et derrière les os de notre thorax est le siège de l'intuition.
Il est cet organe qui bat plus de 100000 fois par jour, comme tous les autres organes, il a besoin d'énergie qui lui est apporté par les nutriments et l'oxygène fourni par la respiration.
Il pèse environ 300 g et mesure 14 à 16 cm. Nous respirons 15000 Litres d'air par jour en respirant normalement 30 à 50% moins lorsque nous sommes stressés et jusqu'à 10 fois plus lorsque nous faisons des respirations dynamiques ou profondes.
Selon Aristote qui fut le premier à le découvrir, c'est le 1er organe à se former lors de la croissance de l'embryon : c'est l'embryogénèse.
Il en faisait logiquement l'organe de la vie et le siège de l'âme.
Toujours selon lui, le coeur représente le mouvement presque perpétuel et il est la différence majeure entre le règne minéral et le vivant.
Platon a à peu près la même vision des choses à propos du coeur.
Au-delà de ces considérations, le coeur est le repère et le modèle de toute vie.
Il génère une puissance électrique très élevée, qui dégage le plus d'énergie.
L'intensité est 50 fois plus élevée que celle du cerveau.
Le champs électrique généré peut être détecté jusqu'à 3 mètres autour du corps.
Au-delà de son rôle cardiaque, le coeur cumule d'autres fonctions dont celles, de glande endocrine, de système nerveux et de productrice d'électricité.
Quelles sont les expressions qui vous parlent le plus à propos du coeur ?
- la peur au ventre
- le coeur sur la main
- avoir le coeur gros
- avoir un coeur d'or
- de gaité de coeur
- en avoir le coeur net
- si le coeur vous en dit...
Le coeur est aussi le siège de l'intuition comme je le disais. Vous savez, cette petite voix qui vous parle et qui vous dit où tourner lorsque vous cherchez votre chemin et dont vous ne suivez pas la recommandation parce que votre mental refuse souvent ces indications.
L'intuition est une vrai richesse.
Lorsque l'intelligence du coeur intuitif nous fait comprendre la simplicité et la joie qui sont la nature même de la vie.
Nous nous plongeons dans notre existence avec la pureté innocente et l'émerveillement de l'enfant.
La vie est un prodigue de miracles.
Son but se lier avec les autres.
Penser avec des séquences d’émotion.
Apprendre avec les images et le récit, partage émotionnel.
Le ventre
L’un de nos 3 cerveaux » serait même apparu en premier dans notre évolution.
Nous avons certainement « digéré » avant de « penser ». Notre système digestif abrite 200 Millions de neurones.
Mais nous ne sommes pas seuls, tenez vous bien !
Il y a 100 fois plus de bactéries dans notre intestin que de cellules dans notre corps.
Et il a été démontré dans de nombreuses études que ces bactéries, si elles ont bien un rôle dans notre bien-être digestif, seraient aussi responsables de la manière dont nous « digérons » nos émotions.
Les neurones du « cerveau » entérique sont également le siège de la synthèse de 95% de la sérotonine, l’hormone de la modulation des émotions.
Anxiété, stress, dépression, notre ventre et ses hôtes, notre microbiote, conditionnent donc notre sensibilité à tous ces facteurs de notre relation à nous-même et à ce qui nous entoure.
On sait que les émotions sont un vecteur puissant de charge ou de décharge d'énergie de notre corps.
Une minute de colère nécessite 5 heure à notre corps pour reconstituer ses défenses immunitaires.
On sait maintenant aussi que 95 % de la sérotonine produite par notre corps, hormone qui gère nos émotions, est produite dans le ventre.
C'est cette hormone qui donne l'information au cerveau de produire des ressentis comme les sueurs froides, les mains moites, les jambes qui flagellent, la voix qui tremble.
C'est donc elle qui nous déstabilise, nous apeure nous fait perdre nos moyens.
Tel un tsunami, une émotion peut nous mettre à genoux ou nous faire toucher le ciel.
D'où la nécessité pour être aligné de comprendre le méchanisme pour mieux accorder nos 3 cerveaux.
En fait il existe 5 émotions majeures, la joie (yes !), la colère, la tristesse, la culpabilité et la honte.
Mais deux résument à elles seules toutes les autres, l’amour et la peur.
Ces émotions quand elles sont reçues par notre organisme, arrivent directement dans le ventre (avoir la peur au ventre). Ce sont alors les neurones situés à cet endroit qui transmettent le message au cerveau et non l'inverse.
Nous savons depuis peu que notre ventre renferme un important réseau de 200 millions de neurones.
Ces neurones jouent plusieurs rôles dont celui "d'organiser" la digestion.
Leur présence nous a permis une évolution importante en libérant le "1er" cerveau de cette tâche, sans lui nous n'aurions pas pu développer toutes nos facultés intellectuelles.
Une quinzaine de chercheurs ont également constaté, grâce à l'imagerie médicale, que le ventre avait un impact majeur sur nos comportements.
On sait également qu'il existe en médecine chinoise une technique de guérison relative aux maladies d'Alzeimer, de Parkinson et à la dépression.
Cette technique c'est l'acupuncture abdominale.
Les chercheurs ont constaté que ces maladies détruisent également les neurones entériques (ventre).
Il s'avère que si l'on pouvait diagnostiquer ces maladies avant la survenance des tremblements, on pourrait en stopper l'évolution.
Alors, prêt(e)s à écouter et à communiquer avec votre ventre ?
Son but, survivre, être en sécurité et se reproduire.
Penser avec des sensations physiques.
Apprendre avec l’expérience physique et l’association directe (stimuli => réponse)
Des clefs au quotidien
Augmenter son bien-être
Il est parfois difficile de concilier vie de famille, repas équilibrés et séances de sport. Mais comme rien n'est impossible, voici les cinq astuce, pour améliorer sa santé et son bien-être au quotidien.
Vivre l'instant présent
Nous connaissons tous des personnes bloquées dans le passé ou totalement tournées vers l'avenir.
Pour mener une vie saine, équilibrée et productive, il est nécessaire de vivre au présent et de se dire, « Aujourd'hui est le premier jour du reste de ma vie".
Repousser au lendemain le fait d'adopter une alimentation équilibrée et de faire de l'exercice n'est pas la solution.
Soyez responsable
Combien de fois nous disons-nous "Si seulement je ne m'étais pas autant stressé, je n'aurais pas mangé toute cette glace", ou "J'aurais bien aimé faire du sport mais les enfants m'ont empêché de dormir".
Je n'ai pas toujours la réponse, et je ne fais pas toujours ce qu'il faut faire, mais j'essaie d'apprendre de mes erreurs.
Croyez en vous
J'élève ma fille avec ces précieux principes.
Elle est loin d'être parfaite, mais elle fait de son mieux et prend ainsi conscience du pouvoir des possibles.
Nous pouvons accomplir tout ce que notre esprit et notre cœur désirent.
J'essaie d'instiller le même niveau de confiance à mes clients dans mes consultations.
Mener à bien un programme de bien-être donne une confiance renouvelée en ses capacités.
Ne laissez pas le stress mettre à mal vos objectifs de bien-être
Le stress est souvent à l'origine de l'abandon de nombreux régimes et autres programmes de remise en forme.
Connectez le corps et l'esprit
La dernière règle s'applique au sport mais aussi à l'alimentation.
Faire attention à notre manière de manger et de faire du sport permet d'acquérir un sentiment de plénitude.
Ce qui se passe dans votre tête est tout aussi important que les aliments que vous consommez et le sport que vous faites. Pour réussir, il vous faudra une force intérieure et aussi croire que tout est possible dès lors que l'esprit le veut.
Acceptez vos émotions
Certains diront que la plupart de nos problèmes physiques, mentales et relationnelles proviennent de notre incapacité à éprouver des émotions de manière appropriée.
Certaines personnes dépensent énormément d’énergie à éviter d’extérioriser leurs émotions.
Donc, la clé est de vous donner la permission inconditionnelle de ressentir vos sentiments.
Pourtant, c’est ce que vous faites, lorsque vous baissez la garde, soit seul ou avec quelqu’un, en qui vous avez confiance.
Vous pouvez vous concentrer sur la situation et vivre pleinement vos sentiments et mieux comprendre ainsi ce qui vous arrive.
Écrivez, sur une feuille de papier vos émotions négatives, cela vous aidera beaucoup.
La recherche a montré que les personnes qui écrivent sur leurs émotions les plus profondes sont moins déprimées et plus positives sur la vie, qu’avant de commencer à écrire.
Prenez des risques chaque jour
Construire une routine est important, mais vous pourriez aussi vous retrouver dans une ornière.
Et cela signifie que vous n’êtes pas en croissance.
La prise, de certains risques, peut être saine et enrichissante.
Relevez le défi de prendre un risque chaque jour, comme parler à quelqu’un de nouveau, faire confiance à quelqu’un, apprendre une nouvelle discipline, la fixation d’un objectif d’entraînement difficile ou tout ce qui vous pousse hors de votre zone de confort.
Observez votre moi intérieur
Évitez d’être trop longtemps en roue libre dans votre vie sans vous évaluer.
Par exemple, posez-vous régulièrement des questions telles que,
Suis-je dans le déni ?
Qu’est-ce qui m’importe dans la vie ?
Qu’est-ce qui oppose une résistance à mes choix ?
Est-ce que ma pensée est utile ?
Y a-t-il une meilleure option ?
Déterminez et vivez vos valeurs personnelles, elles servent comme un « système de GPS intérieur » qui vous guide à travers la vie, pour vous aider à prendre les bonnes décisions et vous garder sur la bonne voie.
Qu’elle est la signification que vous donnez à vos valeurs.
Par exemple, sincérité, fidélité, honnêteté et franchise ont une signification particulière pour chacun.
Connaître et vivre, vos valeurs, vous mènerait à une vie d’équilibre, de confiance et de respect.
Identifiez et utilisez vos points forts, cela vous aidera à vous sentir plus capable.
Notez vos habitudes et sélectionnez celles qui vous caractérisent le plus.
Passer par cet étape, cela vous permettra de prendre conscience de vos points forts et de vous les approprier.
Étés-vous sûr de savoir quelles sont vos forces ?
Si vous avez vraiment du mal à nommer vos points forts, je vous recommande les moteur de recherches.
Pratiquez la gratitude, ça fait du bien et ça peut changer notre vie.
Les bienfaits augmentent avec la pratique de l’exercice de gratitude.
Plus souvent vous vous efforcez de relever vos raisons d’être reconnaissants, plus facilement vous en trouvez.
Observez dans votre vie que, plus vous exprimez votre gratitude aux autres, plus vous en êtes appréciés, donc plus ils sont aimables, donc plus vous avez de raisons de leur être reconnaissant, etc.
Découvrez ou redécouvrez une passion, prenez le temps de les examiner.
Songez à ce que vous aimez faire.
Jetez un œil sur votre propre vie et voir si vous ne faites déjà quelque chose que vous aimez.
Pensez à ce que vous avez toujours rêvé de faire et faites-en une liste.
Posez-vous les bonnes questions.
Construisez un plan pour trouver votre passion et fixez-vous l’objectif d’essayer et sortez de votre train-train.
Donnez une priorité à vos passions potentielles et elles feront de grandes choses pour votre sentiment général de bien-être.
Faites en priorité ce qui vous rend heureux
Parfois, vous pouvez vous sentir « pas très bien » à travers vos journées en pilote automatique et cela peut être même fastidieux et déprimant.
Prenez la décision d’aller bien.
Ne vous laissez pas envahir par le sentiment de malheur. Prenez soin de vous.
Débutez votre journée sur une note positive en vous engageant dans une activité agréable chaque matin. Commencez par exemple par une séance de musculation et savourez ce moment de bien-être.
Surveillez vos pensées
Sans même le savoir, vous pourriez être pris dans un cercle vicieux de pensées négatives, qui semblent être naturellement.
Non seulement ces pensées pénètrent dans votre humeur, mais vous commencez également à les voir comme des vérités.
Heureusement, nous pouvons travailler à travers ces pensées et les voir pour ce qu’elles sont « fausses et modifiables ». Contrôlez vos pensées négatives et remplacez-les par des pensées positives.
Voici quatre questions à vous poser pour réduire automatiquement vos pensées négatives.
Est-elle vraie ?
Puis-je absolument savoir que c’est vrai ?
Qu’elles sont mes réactions quand je crois cette pensée ?
Que serais-je sans cette pensée ?
Débarrassez-vous des gens négatifs
Il y a toujours au moins une personne négative dans votre vie qui vous fait glisser vers le bas de votre bien-être.
Parfois certains d’entre nous, sommes plus touchés par les remarques ou attitudes de ces gens négatifs.
Identifiez ces gens négatifs et réfléchissez comment vous en débarrasser.
Les actions de ces gens négatifs pourraient vous sembler insignifiantes, mais ces désagréments peuvent s’ajouter et en occupant vos pensées, détruire votre humeur et votre bien-être.
Entourez-vous de senteurs et de sons positifs
Notre environnement peut affecter notre bien-être.
Vous pouvez créer une ambiance positive à la maison avec des senteurs que vous aimez comme le citron, la menthe poivrée ou d’autres huiles essentielle …
Écoutez régulièrement selon vos goûts de la musique et être entouré de tableaux inspirants sur les murs, vous apporteront beaucoup d’énergie pour votre bien-être.
Cherchez et trouvez l’inspiration
Trouvez l’inspiration dans la lecture quotidienne de citations positives, écoutez des livres audio ou de la musique.
Vous pouvez aussi, quitter votre intérieur pour aller marcher en pleine nature pour respirer.
le détachement pour votre bien-être
Notre société occidentale nous pousse à la consommation. Le dernier iPhone, la dernière montre chic, le dernier ordi portable, le dernier jeu…
Il faut toujours plus d’argent pour se payer le plus futile.
Apprenez l’art du détachement, ou, comme certains le disent, l’art du moment présent.
Qu’est-ce qui vous ennuie dans le fait de perdre ce que vous possédez en matériel ?
Votre téléphone ne reste qu’un téléphone, et les 10 € que vous avez perdus en jouant aux jeux de grattage n’étaient que de l’argent, au fond.
Il faut savoir se contrôler.
Il est nécessaire de relativiser.
Si on regarde autour de nous, il y en a qui vivent des guerres tous les jours.
Ils tentent de s’en sortir, et c’est ce qu’ils vont faire car ils ont l’espoir de s’en sortir.
Et ils n’ont pas le choix.
Ils n’ont pas la prétention de vouloir le nouvel ordi portable qui vient de sortir, car ce qui les intéresse, c’est de rester en vie et de s’en sortir.
Ils se positionnent sur des modes de pensées qui les font tenir au jour le jour, comme la pensée positive, l’espoir…
la spiritualité pour votre bien-être
Matière suprême de l’esprit qui nous emmène au-delà de la normalité.
Les qualités intérieures comme le calme, la relaxation, la sagesse, l’amour, le courage, la sensibilité, la responsabilité, l’intégrité, le sens de l’humour… sont des sous-produits du bonheur.
On peut effectivement les cultiver, elles arrivent d’elles-mêmes avec notre méditation quotidienne et toutes nos expériences de vie.
Il faut donc vivre intensément et totalement, observer nos réactions.
Nos comportements sont là pour bien comprendre les mécanismes de notre être afin de se libérer.
Aujourd’hui, il y a de nombreuses et différentes approches spirituelles qui nous aident à trouver équilibre et harmonie.
N’hésitez pas à être spirituel de temps en temps et vous sentirez que votre bien-être s’élèvera
Jetez, vendez ou faites don de tout ce dont vous n'avez pas besoin
Utilisez le minimalisme pour vous aider à repérer ce dont vous n'avez pas, ou plus besoin.
S'il y a une chose qui peut soulager immédiatement vos angoisses, c'est bien de garder uniquement les objets utiles ou aux quels vous êtes attaché pour les bonnes raisons.
Faites passer votre bien-être avant votre vie professionnelle aussi souvent que possible
Évidemment, il y a des exceptions lorsque vos responsabilités vous obligent à prendre quelques minutes sur votre temps de sommeil pour répondre à un mail important.
Par exemple, ce n'est pas grave, tant que vous faites bien la distinction entre le travail et la personne que vous êtes.
Vous ne vous réduisez pas à ce que vous faites dans la vie et ce que vous gagnez.
Trouvez une activité qui vous permette de méditer
Si la position du lotus n'est pas votre tasse de thé, trouvez autre chose.
Il faut que vous puissiez vous sentir en accord avec vous-même, et dans l'instant présent.
Faites une virée en voiture, vitres baissées et musique à fond, dansez dans votre chambre tous les jours, ou lancez-vous dans la peinture.
Prévoyez un créneau pour vous y atteler.
Récitez des mantras
Même si cela vous semble un peu farfelu au début, je peux vous assurer qu'au vu des résultats, vous allez vite vous demander ce que vous pouvez bien être en train de dire pour que ce soit aussi efficace.
Pour tout ce qui vous manque ou dont vous n'avez pas assez, dites-vous que vous "êtes" ou que vous "avez" ce que vous désirez.
Par exemple: "Je suis en sécurité", "J'ai une situation financière confortable", "J'ai toujours quelqu'un pour prendre soin de moi", "J'ai réussi".
Vous posez ainsi les bases d'un cercle vertueux.
"Je suis" est la "prière" la plus puissante qui soit.
Trouvez le bonheur dans la simplicité du quotidien
Prouvez-vous que vous avez finalement besoin de peu pour vivre des choses incroyables.
Inutile de dépenser une fortune en ingrédients pour préparer un bon repas.
En fait, vous n'avez besoin de rien d'autre que ce vous avez déjà pour commencer à vivre la vie dont vous rêvez. Pourquoi ?
Parce que celle-ci est enracinée en vous, et qu'il vous suffit de l'activer en changeant votre vision des choses.
Cessez de croire que les choses sont vraiment telles que vous les voyez
Acceptez d'être surpris(e).
Rappelez-vous que lorsque vous avez peur, vous ne voyez pas les choses clairement ni comme elles sont en réalité. N'oubliez pas que vous ne pouvez savoir ce qui vous rendra heureux mais que vous pouvez opter pour la gratitude et la paix intérieure, dans l'instant présent.
La concentration
L’idée est de développer, améliorer, entretenir sa concentration.
Celle-ci permet d’être complètement connecté à ce que l’on fait, que ce soit dans notre vie professionnelle, personnelle, sportive ou autre…
Par conséquent, être concentré dans chaque activité que nous faisons permet d’être plus efficace, de mieux apprendre, développer, créer ce qui permet d’augmenter notre potentiel. Mais ce n’est pas tout !
Être concentré sur le moment présent permet d’apprécier aussi les choses et d’augmenter considérablement son bien-être.
Léonard de Vinci pensait que l’humain, « Regarde sans voir, écoute sans entendre, touche sans sentir, mange sans goûter, se déplace sans le ressentir, respire sans avoir conscience des odeurs ou des parfums et parle sans réfléchir ».
Effectivement, nous sommes souvent en « pilote automatique » et peu centrés sur l’instant présent.
Cela demande de l’entraînement comme n’importe quelle autre aptitude.
En développant la concentration, nous développons notre capacité à contrôler les distractions.
Elles peuvent être externes provenant de certaines personnes et de leurs attentes (collègues, amis, fans, médias, concurrents, etc.) ou provenant de conditions particulières de l’environnement.
Les distractions peuvent aussi être internes, inquiétudes, doutes, pensées négatives, peur de l’échec, attentes, etc.
En contrôlant les distractions, cela nous permet de gérer notre stress, de performer, d’être plus positif, d’être plus créatif, plus détendu, etc…
Quelques conseils, comme choisir de se concentrer sur les aspects positifs plutôt que négatifs, choisir de se concentrer sur les opportunités plutôt que sur les obstacles ou choisir de se concentrer sur l’instant présent plutôt que sur les distractions.
L’engagement qui contribue à la motivation, se fixer des objectifs quotidiens, à moyen terme.
Il contribue à rester dans l’action et à rester motivé.
« Le désir est le seul moteur de l’humain ».
C’est pourquoi il nous faut avoir des objectifs précis pour avancer et se sentir bien.
– Formuler les objectifs de manière positive et sans négation « Je ne veux pas perdre » > « Je veux gagner ».
– Formuler des objectifs de « performance » plutôt que de « résultat »
Par exemple « je veux être performant lors de ce rdv », plutôt que : « je dois avoir le poste après ce rdv » car nous ne maîtrisons pas tous les paramètres du rdv.
On peut être performant et ne pas convenir au recruteur, etc.
– Visualiser vos objectifs pour vous donner les moyens.
La confiance en soi est la conviction ou la croyance que nous avons la capacité de réussir.
Cette dernière influe directement sur la performance, sur la motivation, l’activation, la concentration, et les émotions…
Donc cela influencera aussi le bien-être.
Voici quelques stratégies pour renforcer la confiance en soi :
– Soyez convaincu que vous pouvez atteindre vos objectifs (pensez-le !).
– Pensez de manière positive au sujet de vos capacités.
– Parlez-vous mentalement de façon positive (« Allez », etc). En période de doute, nous avons tendance à nous parler négativement (« Je n’y arriverai pas, etc).
– Notez sur un carnet toutes vos réussites passés présente et future, grandes ou petites quel que soit le domaine.
A chaque moment de doute, relisez le carnet afin de réactiver l’état interne de confiance.
– Visualisez un souvenir de succès, de performance, ou une réussite passée permet de renforcer la confiance en soi.
C’est de l’imagerie mentale.
Utiliser des outils pour positiver
Le dialogue interne positif est de se parler à soi-même de façon positive.
L’imagerie ou visualisation positive est de se remémorer des souvenirs positifs, agréables par exemple.
Visualisez l’atteinte d’objectifs importants.
Choisissez de vous concentrer sur les opportunités plutôt que sur les obstacles.
Soyez bienveillant envers les autres, cela permet de développer la cohésion de groupe, la collaboration, etc.
Imaginer les événements à venir de façon positive.
Apprendre à lâcher prise peut être utile pour gérer le stress, prendre du recul, se ressourcer, etc.
Trois astuces repos pour augmenter votre énergie
Quoi de mieux que de vous accorder du temps pour vous reposer, pour dormir et vous ressourcer.
On oublie les veillées tardives et les nuits blanches en préférant se coucher à heures fixes dans le calme. Idéalement, privilégiez des nuits de 8 heures minimum pour booster votre énergie.
Dans la journée, accordez-vous des moments de détente. Optez par exemple pour la pratique de la relaxation.
Certaines activités vous permettront de mieux gérer le stress et vos occupations quotidiennes.
Enfin, restez à l’écoute de votre corps, mais aussi de vos envies.
Si vous avez froid, vous vous habillez, si vous avez faim, vous mangez, alors si la fatigue se fait sentir, reposez-vous.
C’est aussi simple que cela.
Ne menez pas votre corps dans ses retranchements et apprenez à l’écouter.
Vous verrez que votre capital énergie en sera multiplié.
Pour la vivacité contre l’activité mentale excessive
Une étude s’est fondé sur des questionnaires soumis à plus de 1,2 million d'adultes américains entre 2011 et 2015.
Ces questionnaires dressaient une liste de 75 types d'activité physique, de la marche en passant par le jardinage ou la pêche.
Les sondés devaient indiquer le nombre de fois par semaine ou par mois où ils s'adonnaient à cette activité et combien de temps en moyenne.
Une autre question était, « Si vous pensez à votre santé mentale, ce qui comprend le stress, la dépression et des problèmes émotionnels, combien de jours lors des 30 derniers n'a-t-elle pas été bonne ?".
L'activité physique est facteur de bonne santé mentale.
Résultat : "Les personnes qui ont une activité physique font état de 1 jour de moins de mauvaise santé mentale par mois par rapport à celles qui n'ont pas d'activité", ont résumé les auteurs.
Les sondés déclaraient en moyenne avoir environ 4 jours de "mauvaise santé mentale" par mois.
La dose idéale d'exercice physique est de "45 minutes trois à cinq fois par semaine".
Au-delà, le bénéfice baisse.
Et les sondés atteignant trois heures d'activité physique par jour déclaraient avoir une santé mentale moins bonne que ceux sans aucune activité physique.
La relation entre exercice physique et réduction du stress "pourrait aller dans les deux sens.
Par exemple, l'inactivité pourrait être un symptôme et un facteur de mauvaise santé mentale.
Un mode de vie sain, cela implique beaucoup de choses, notamment faire de l’exercice tous les jours, manger sainement et de manière équilibrée, gérer son stress et avoir de bonnes nuits de sommeil.
L’activité physique joue un rôle extrêmement important dans le maintien de la santé physique et psychologique.
La recherche montre que l’activité physique apporte des bienfaits psychologiques.
Par exemple, l’exercice peut améliorer l’humeur, la compétence et aider à se sentir plus confiant.
Il peut contribuer à prévenir et à contrôler le stress donc l’anxiété.
Pour augmenter l’énergie, bouger améliore la vigilance et l’endurance.
En outre, certains types d’activité physique, comme les sports d’équipe, procurent un réseau de soutien social, qui présente de multiples avantages, y compris le maintien de liens d’amitié, ainsi que l’amélioration de l’humeur et de la qualité de vie.
Entraînement mental et physique
La visualisation doit être considérée comme un complément à l’entraînement physique et non un substitut.
Il a en effet été amplement démontré que la combinaison de l’imagerie mentale et de l’entraînement physique est plus efficace que la pratique physique seule.
En ce qui concerne la durée et le nombre d’essais, certains recommandent des séquences de 10 à 15 minutes, soulignant dans ce cas l’importance de la répétition.
Tous s’accordent néanmoins sur le fait que l’on a des difficultés à maintenir de l’attention centrée dans le cas de nombreux essais successifs.
La fatigue mentale est en effet rapidement atteinte lors des entraînements à l’imagerie, confirmant ainsi que chaque séance doit contenir un nombre d’essais successifs limité. Dans la pratique, une séance composée d’un maximum de 3 séquences de 10 à 15 mn d’imagerie semble constituer une limite à ne pas dépasser.
L’éveil de son énergie intérieure
Pour ceux qui sont intéressés par l’éveil, voici une autre méthode.
Pour être le plus clair et compréhensible possible, le principe est le suivant.
Commencez par vous échauffer avec des étirements et quelques chants de son de syllabes quelconques.
Faites une méditation alternant relaxation et tension d’action effort.
Cette posture apporte un équilibre et une harmonie au corps.
Ensuite, utilisez votre souffle pour canaliser et concentrer votre énergie.
L’idée est que cela influence subtilement le physique et le mental positivement.
Cela favorise d’abord le spirituel, le souffle et la méditation. L’objectif est de concentrer, à des points stratégiques, vos énergies.
Il existe de nombreuses postures de yoga Kundalini par exemple, n’hésitez pas à vous renseigner sur celles-ci.
La question de l’énergie vitale est un sujet vaste et plus complexe que ce que l’on pourrait croire de prime abord.
En effet, tout dépend à quoi on s’intéresse vraiment. Est-ce juste la notion d’énergie vitale dans sa forme extérieure? Peut-être est-ce dans ses différents aspects : physique, énergétique. Ou comme elle est souvent traité dans les médecines douces telles que le yoga, le Gi gong, le taï-chi et aussi le magnétisme, le souffle etc…
Et il y a aussi cet aspect moins connue de l’énergie vitale dans son origine, son aspect profond et universel.
Il existe dès lors, diverses approches ou méthodes naturelles pour libérer son énergie vitale. Par exemple, celle qui consiste à éveiller les 7 niveaux de vibrations appelés chakras ou centres d’énergie.
Pour prendre sa vie en main, être en pleine capacité de ses potentiels, pour créer sa vie et se réaliser pleinement.
Du coup, chaque centre d’énergie doit être équilibré. Tout déséquilibre dans un ou plusieurs centres d’énergie entraîne un déséquilibre globale. C’est comme avoir un grain de sable dans le moteur. Il cale parfois mais roule, jusqu’à ce qu’il s’arrête complètement. Et là vous n’avez plus le choix, vous êtes obligés de réparer, sinon vous restez bloqué.
La plupart des hommes et des femmes aujourd’hui, sont bloqués au stade des 14 ans. C’est un problème majeur dans notre société occidentale. Depuis des siècles, la femme porte le péché originel. Le sexe est considéré et vécu comme un tabou, alors que dans la pratique, le sexe est plus que vulgarisé. Une conséquence apparente est la fameuse crise de la quarantaine observée chez certains individus. Fort heureusement, chacun peut agir et entreprendre un travail pour se réharmoniser en douceur, et équilibrer sa vie.
L’art d’utiliser les ressources de Mère nature
Pour libérer son énergie vitale, il existe plusieurs méthodes et vous pouvez vous laisser guider par ce qui résonne le plus en vous.
Il faut en général être accompagné, surtout au début, et vous pourrez par la suite trouver vos propres sources d’évolution.
Certains massages du corps peuvent aider à lever des blocages.
Le vrai job se trouve dans le fait de cultiver une vie intérieure, dans le but de se réaliser extérieurement.
La méditation est votre meilleur moyen de vous éveiller à une conscience de plus en plus grande.
Car libérer votre énergie vitale consiste en réalité à éveiller votre niveau de conscience, récupérer vos potentiels innés pour devenir le créateur de votre vie.
Cela passe par l’éveil des centres d’énergie, car chacun est une porte vers un niveau de conscience supérieur.
Changer sa vibration en profondeur parce qu’elle est ce qui émane de vous naturellement.
Vous pouvez ponctuellement vous concentrer sur votre énergie et l’augmenter par des exercices de respirations.
Par des postures méditatives, par des invocations ou des prières chargées de votre énergie.
Mais changer sa vibration pour qu’elle soit constante et toujours dans un état disponible demande une discipline, un vrai travail sur soi, donc demande au départ une concentration.
Votre vibration est une énergie de forme multiple et elle est moulée à partir de qui vous êtes en vérité, c’est-à-dire de la couleur de votre âme, de votre essence divine et aussi de votre personnalité humaine, de vos croyances et de tout ce vous faîtes extérieurement.
Si c’est la personnalité humaine qui domine, on est coupé de la véritable source et notre vibration s’en ressent.
Cette énergie vibratoire est une essence divine.
Très peu d’être accède à cet état car en réalité c’est une énergie cachée dans le corps qui ne peut être éveillé qu’à partir d’un certain degré de conscience.
Seul ceux qui vivent déjà avec leur âme ou ont déjà un contact établi avec leur âme, peuvent comprendre ou recevoir plus facilement cette information.
C’est par l’axe spirituel que l’on peut accéder à plus de conscience et donc plus facilement y accéder.
Expérimenter une sexualité sacrée
Le périnée, aux vertus encore méconnues, s’avère un élément important de la bonne circulation de l’énergie épanouie.
Sa mobilisation est essentielle.
Sur le plan anatomique, il y a huit séries de muscles qui vont de l’os pubien au coccyx.
Leur mobilisation en conscience, associée à certaines pratiques, participe à une véritable transformation intérieure, fondée sur la libération d’une onde positive
En pratique, exercice de Kegel, du nom de son inventeur, le Dr Arnold Kegel.
Portez votre attention sur la zone du périnée. Pour le situer, si besoin, asseyez-vous sur une balle de tennis ; votre point d’équilibre est votre périnée.
Contractez-le dans une inspiration profonde (5 sec), relâchez dans une expiration (10 sec).
Sentez comme le simple fait d’y porter votre focus va activer, chauffer cette zone.
Poursuivez. Inspirez, contractez, expirez, relâchez.
Le temps de relâchement doit être le double de la contraction.
Faites l’expérience avec une intensité plus grande.
Observez la différence de sensations…
Gardez le haut de votre corps détendu…
Peu à peu, l’énergie va se déployer, sans effort.
En l’accompagnant avec le souffle, vous devriez ressentir une vague positive à travers le corps.
C’est la manifestation d’une bonne circulation de notre énergie vitale.
Trois séries de 10 pratiques par jour.
Les symptômes de l’éveil spirituel
Avoir le sentiment d’être une nouvelle personne avec de nouveaux yeux
À ce stade de l’éveil, vous vous désidentifiez de votre mental/ego.
Vous êtes à présent la présence qui observe le mental.
Toute votre vie, on vous a appris que vous étiez cette voix dans votre tête.
Vous vous êtes défini à travers elle.
À présent, vous savez que cela ne vous représente pas et cela est très inconfortable au début.
Si vous n’êtes pas cette personne, qui êtes-vous ?
Vous êtes le calme derrière cette voix.
Apprenez simplement à l’observer et vous découvrirez qui vous êtes vraiment, derrière le vacarme.
Votre sentiment d’être une nouvelle personne est légitime puisqu’à présent, vous ne voyez plus la vie au travers de votre mental mais au travers de votre âme et de votre cœur. C’est pour cette raison que vous avez l’impression d’avoir de nouveaux yeux.
Vos yeux sont littéralement en train de s’ajuster pour voir d’une nouvelle manière.
Il se peut qu’à ce stade, vous ayez les yeux qui sautent à l’occasion, une vision troublée ou des difficultés à voir comme avant.
Intérêt nouveau pour les questions existentielles telles que «qui suis-je?», «pourquoi suis-je ici?», «y a-t-il autre chose que le monde physique?», «quel est le sens de la vie?»
Vous apprenez tranquillement à communiquer avec votre âme.
Depuis des années, elle tentait d’entrer en contact avec vous et aujourd’hui, vous êtes prêt à entendre sa vérité, Votre vérité.
Le fait que vous vous posiez ces questions concernant votre véritable identité est la preuve que vous êtes maintenant prêt à l’écouter.
Votre âme ne peut que s’en réjouir et elle peut dorénavant vous transmettre son message.
Perte d’intérêt pour les choses, personnes et activités superficielles
Lors de l’éveil de la conscience, votre taux vibratoire augmente considérablement.
Vous rayonnez à une fréquence plus élevée et c’est pourquoi vous êtes attiré dorénavant vers les choses, les personnes et les activités qui vibrent à la même fréquence que vous.
D’où la raison pourquoi laquelle vous délaissez ce qui est superficiel.
Cela ne correspond plus à votre fréquence et donc, ne vous attire plus.
Besoin viscéral de comprendre et de rechercher la vérité
Vous êtes un être spirituel, venu sur Terre pour vivre des expériences dans le monde physique.
Votre compréhension de la vie passe par votre âme dorénavant.
Vous ne vous identifiez plus aux croyances de l’ego, vous disant que vous êtes séparé du reste du monde.
Vous recherchez la vérité en retournant à la Source de votre Être, à votre Essence véritable et les questions d’ordre pratique vous intéressent de moins en moins.
Vous êtes plus attiré par les questions concertant le monde invisible et la spiritualité.
Recherche de sens dans tout ce que vous faites
Les questions dépourvues d’intérêt ne vous intéressent plus, étant donné que vous vibrez à une fréquence plus élevée.
À ce stade, vous ne pouvez plus faire, avoir ou être quoique ce soit, sans que cela fasse du sens à vous yeux.
Vous ne pouvez plus vous mentir et vous impliquer dans certaines choses qui ne vous correspondent plus.
Votre priorité est maintenant de vivre en étant fidèle avec vous-même.
Le danger à ce stade, est que votre mental vienne interférer dans votre évolution.
Apprenez à suivre votre intuition et votre cœur et à mettre de côté les peurs, les jugements de l’ego.
Si votre intuition vous dit de vous réorienter par exemple, prenez le temps d’écouter ce qu’elle a à vous dire.
N’écoutez pas votre mental qui vous sortira sa rengaine habituelle, tu es trop vieux, tu n’as pas assez d’argent, tu ne feras rien d’autre de mieux, etc…
Importance accordée au domaine de l’Être et non du faire ou de l’avoir
Le domaine du faire et de l’avoir sont des domaines reliés au monde physique.
Lors de l’éveil spirituel, vous délaissez ce monde au profit du monde invisible, celui de l’Être, qui se situe au niveau de l’âme.
C’est à ce niveau que vous trouverez votre joie.
La société actuelle nous pousse à inverser l’ordre des choses. Elle nous incite à avoir, faire et finalement être.
Voilà ce qu’elle nous propose: «accumules des biens matériels et tu trouveras le bonheur».
Or, nous n’avons qu’à regarder ce qui se passe présentement dans notre monde pour voir que cela ne fonctionne pas du tout.
Celui qui cherche son bonheur à travers l’avoir ne le trouvera jamais.
Celui qui vit un éveil de la conscience saura que tout ce qui importe, c’est être.
Par la suite, le domaine du faire et de l’avoir découlera naturellement, sans effort particulier de notre part.
Sentiment d’unité envers tout, animaux, plantes, Dieu, chaque être humain
Le sentiment d’unité provient de la désidentification à l’ego. Ce faisant, nous retournons à la Source, où nous ne faisons qu’Un.
Ce sentiment est tout simplement sublime.
Il nous fait ressentir l’extase d’être en harmonie totale avec tout ce qui nous entoure.
Nous avons passé toute notre vie dans un état de séparation, eux au lieu de nous.
L’éveil nous fait prendre conscience que nous ne formons qu’un et que nous sommes tous unis.
Lorsque nous acceptons ce concept dans notre réalité, nous ne pouvons plus blâmer les autres, les juger ou éprouver du ressentiment vis-à-vis une personne, puisque cette personne fait partie de nous, elle est nous.
Grande difficulté à entreprendre une routine qui ne nous convient plus
Lorsque votre âme a réussi à vous communiquer le message qu’elle essaie de vous livrer depuis toujours, elle est si enjouée et joyeuse que votre Être tout entier vibre intensément.
Vous avez découvert ce qui vous anime, le feu de votre âme, et vous voudriez vous immerger dans cette expérience à chaque instant pour y rester.
C’est pour cela que vous avez toutes les misères du monde à sortir de votre lit pour aller vers une routine qui n’est plus compatible avec qui vous êtes et qui vous ne définit plus.
Un changement intérieur profond s’est opéré en vous et ce n’est qu’une question de temps avant que les changements extérieurs voient le jour dans votre réalité.
Vous ne pouvez évoluer intérieurement sans que l’extérieur se transforme également.
Alors, la meilleure chose à faire, lorsque vous vivez cet entre-deux, est de garder la foi.
Dans les moments difficiles, alignez-vous avec votre âme le plus possible et tentez d’éviter les pièges du mental.
Insomnie, grande période de fatigue
L’éveil spirituel modifie notre taux vibratoire ainsi que le mouvement de l’énergie dans notre corps.
Par moment, le mouvement s’intensifie.
Notre corps doit s’adapter à tous ces changements.
Sur le plan émotionnel, l’éveil de la conscience est particulièrement exigeant, puisqu’il nous fait vivre toute une gamme d’émotions.
Nous levons nos blocages, nous réexaminons nos croyances, nous réapprenons à nous connaître.
Cela demande beaucoup d’énergie, d’où les moments de fatigue extrême.
Accordez-vous simplement plus de période de repos, sans culpabiliser.
Écoutez le rythme de votre corps et prenez soin de votre bien-être.
Vous verrez, avec le temps, votre corps retrouvera son énergie et vous en aurez même plus qu’auparavant.
Le fait d’être en alignement total avec soi-même nous donne accès à un réservoir sans fin d’énergie.
Perte d’intérêt pour toute forme de conflits ou de mésententes
Les conflits proviennent de l’ego et du fait qu’il se sent séparé de tout.
Lorsque vous ouvrez votre conscience à votre véritable nature, vous comprenez que vous êtes unis les uns envers les autres.
Et que les autres ne sont que le miroir de qui vous êtes.
Si vous éprouvez de la colère ou de la rancune envers un autre, c’est envers vous-même que vous êtes en colère.
Et vous ne voulez pas de cette énergie dans votre vie.
Vous apprenez dorénavant à voir les autres comme une partie de vous-même.
Et vous respectez la part d’ombres et de lumières de tous. C’est pourquoi les disputes et chicanes ne vous intéressent plus.
Vous les avez remplacées par des sentiments véritables d’unité, de joie, d’harmonie et d’amour envers tous.
Besoin accru de prendre soin de soi et de s’accorder du temps de réflexion, à l’écart, loin des distractions quotidiennes
Lors de la phase d’éveil, vous ressentez un besoin accru de prendre soin de vous et de vous accorder du temps de réflexion, loin de toute source de distractions.
Vous réalisez que vous êtes la personne la plus importante du monde et ce n’est pas une question d’ego ici.
Vous prenez conscience que votre bonheur et paix intérieure prime sur toute autre chose et vous ne voulez plus vous laissez attirer par l’attrait du monde extérieur.
Vous privilégiez les moments de calme et de solitude aux foules et endroits bruyants.
Cela ne fait pas de vous un solitaire. Vous avez simplement besoin de vous centrer et d’aligner votre Être sur vos réels désirs et besoins.
Sentiment d’extase au cours de la journée, suivi de moments de tristesse, de colère et de découragement
Notre Être intérieur danse littéralement la samba.
Il vibre de tous ses feux, il est enfin découvert, enfin célébré, jusqu’au moment où nous retombons dans le piège de l’ego. Celui-ci nous fait tout remettre en question et nous fait vivre sous le règne de la peur ( d’où les sentiments de tristesse, de colère et de découragement ).
Acceptez ces moments comme faisant partie du processus de transformation.
Ce n’est pas une étape agréable mais sachez que la paix intérieure vous attend de l’autre côté de la route.
L’expression « le calme après la tempête » décrit fidèlement cette transition.
Une fois la tempête passée, vous allez vivre dans un état de calme et de grande tranquillité.
Prise de conscience quant à la direction que prend notre vie
L’éveil spirituel nous mène nécessairement à la croisée des chemins.
Vous êtes dorénavant conscient du choix qui se dessine à l’horizon.
Continuer de vivre comme vous l’avez toujours fait, ou prenez une nouvelle direction.
Vous vivez probablement des moments de doute, où vous préféreriez retourner à votre état d’avant, c’est-à-dire l’inconscience.
Il peut paraître plus facile de vivre en somnambule, sans se poser de questions.
Et après tout, votre vie d’avant n’était pas si moche dans son ensemble, malgré certains désagréments et vous pourriez continuer de vivre ainsi jusqu’à la fin.
Mais… et ce mais vous interpelle de plus en plus.
Vous avez envie de partir à l’aventure, de prendre une toute nouvelle direction, plus en lien avec la véritable personne que vous êtes.
Cette nouvelle direction qui vous appelle, c’est votre mission de vie, votre raison d’être, votre rôle ici sur Terre, peu importe comment vous l’appeler.
Votre âme n’attend que vous preniez votre décision…
Et elle est là pour vous aider à faire le grand saut, une fois le choix effectué.
Sentiment qu’il y a quelque chose de bien plus grand et de bien plus beau que notre réalité actuelle
Quelque chose au fond de vous vous dit qu’il y a BEAUCOUP plus.
Que le monde physique dans lequel nous vivons n’est que la pointe de l’iceberg, qu’il y a tout un autre univers derrière cette façade.
Et vous avez raison.
Notre Univers est d’une perfection absolue et l’éveil de la conscience vous ouvre la voie vers cette perfection.
Plus vous vous éveillez, plus vous verrez des coïncidences et des synchronicités dans votre vie.
Ces signes sont des messages livrés par l’Univers, pour vous soutenir, vous guider et vous montrer que vous êtes sur la bonne voie.
Volonté de prendre part à la création de toute chose
Lors de l’éveil spirituel, vous prenez conscience que vous êtes le Créateur de votre existence.
Des idées surgissent du plus profond de votre Être, vous vous sentez inspiré, vivant, joyeux.
Des dons peuvent se réveiller en vous.
Nous avons tous les mêmes dons, télépathie, clairvoyance, intuition, ils sont simplement plus développés chez certaines personnes.
Vous sentez que votre vision de la vie se modifie.
Dorénavant, vous n’êtes plus limité au monde des cinq sens et vous faites l’expérience de votre Être spirituel dans toute sa puissance, sa splendeur.
Vous comprenez que tout dans votre vie, les événements, les gens, les situations, sont créés par vous.
Grand besoin d’apporter sa contribution au monde
Ayant saisi que vous n’êtes pas séparé les uns des autres, que vous ne faites qu’un, vous agrandissez votre perspective et ressentez un besoin pressant d’apporter votre contribution au monde.
Vous vous élevez plus haut que vos propres préoccupations. Vous ne pouvez plus faire quoique ce soit qui blesserait les autres êtres vivants.
Vous sentez plutôt que vous voulez venir en aide, que vous voulez apporter quelque chose de positif à l’humanité.
Les horreurs commises dans le monde actuel ( dues à l’identification au mental ), vous touchent profondément. Vous ne pouvez plus supporter tant de souffrance, de misère, de douleur.
Vous avez un besoin immense de répandre l’amour, le partage et la paix.
Vous voulez que les humains comprennent que nous sommes tous unis.
Ne vous surprenez pas si durant cette période d’éveil, vous n’arrivez plus à regarder les nouvelles ou lire les journaux. Concentrez-vous plutôt sur des activités qui vous permettent de vous sentir unis et qui changent les choses autour de vous.
Trouvez votre talent, votre passion et faites-en profiter un maximum de gens autour de vous.
C’est de cette façon que nous pouvons aider autrui.
Et que nous obtiendrons un changement positif dans le monde.
Détachement face aux croyances et aux valeurs véhiculées dans notre société
Il est tout à fait normal que vous vous détachiez de ce que la société véhicule comme idées, croyances et valeurs, puisque vous n’êtes plus identifié à votre ego.
Toutes les croyances axées sur la peur et le manque, toutes les valeurs axées sur la performance, la compétition et la loi du plus fort, toutes les idées basées sur la consommation excessive d’accumulation de biens, tout cela provient du mental.
Cela ne s’harmonise plus avec qui vous êtes.
Notre société se base sur l’inconscience.
Ce n’est qu’un être inconscient qui peut privilégier la compétition à la coopération, la peur à l’amour et l’accumulation de biens au partage.
À la seconde où nous basculons dans le domaine du conscient, nous ne pouvons tout simplement plus adhérer à ces idéologies.
Désir incessant de vouloir changer de vie
Il est normal, lors d’un éveil spirituel, de vouloir changer de vie, puisque vous vivez de puissantes transformations intérieures.
Votre vie extérieure ne vous convient tout simplement plus. Peut-être est-ce votre emploi, votre région, votre entourage qui ne s’accorde plus avec la personne que vous êtes.
Pour effectuer les changements nécessaires, écoutez ce que votre cœur vous dit.
Vous détenez déjà en vous toutes les réponses à vos questions.
Je vous suggère d’y aller graduellement, à moins que vous vous prépariez depuis longtemps et que vous vous sentez prêt.
Le changement peut s’avérer épeurant.
Nous quittons le domaine du connu, sans aucune garantie de réussite de l’autre côté.
C’est pourquoi je vous conseille d’y aller tranquillement et d’écouter vos ressentis à chaque instant.
Et surtout, demandez de l’aide.
À vos amis, conjoint/conjointe, enfants, vous serez surpris des conseils qu’ils vous donneront, à Dieu, à votre âme.
Ils sont tous là pour vous aider et vous guider sur votre chemin.
Ils attendent simplement que vous leur demandiez !
Appréciation du chemin parcouru, votre cœur est empli de gratitude puisque vous apprenez enfin à apprécier la voie dans laquelle vous vous êtes engagée.
L’éveil spirituel n’est pas le fruit du hasard, il est venu à vous parce que tout votre Être l’a choisi et demandé.
Vous êtes le Créateur de tout ce qui vous arrive.
Vous êtes maintenant plus attentif au chemin parcouru qu’à la destination.
Vous appréciez l’instant présent et vivez de moins en moins dans le passé et le futur.
C’est le rôle de l’ego de vous faire croire qu’il y a d’autres instants que le moment présent.
Besoin de suivre ses intuitions et son cœur, en délaissant le jugement et l’opinion des autres
Lorsque vous serez rendu à cette étape de l’éveil, vous saurez que vous avez réussi à vous désidentifié de votre ego. Vous vous laissez plutôt guider par votre âme, qui est le siège de l’intuition.
À ce niveau, vous ne pouvez pas prendre de mauvaises décisions.
Chaque pas que vous faites est au diapason avec votre cœur. Vous n’avez plus peur de ce que vont penser les autres à propos de vous et de ce que vous faites.
Le jugement des autres ne vous freinent plus.
Vous vous concentrez davantage sur votre mission de vie et vous allez de l’avant dans ce sens.
Vous êtes en alignement total, âme, esprit, corps et vous percevez chaque journée comme un présent et vous vivez sans attente.
À ce stade, vous remerciez le ciel pour cette grande période de transition vécue, pour cet éveil à votre vraie nature.
Plus jamais vous ne voudrez revenir en arrière.